Il y a-aussi- dé ! ces- chélodotis6qui^ept les flanéss semés
de pomtl b ti dé taéliës %raneS sur un whd! clair. Tel lest
L e ÇgÉTOQdsî miliaire^
( CKoetodon miliaris,, Q. et G.)
qufe MM. Quoy e t Gaimatel ont rapporté dés îles Sandwich,
et dont ils ont publié une bonne figure.;1 .
Son museau est. un peu pointu.-. Sa dorsale et son ana'le àf *'terminent
en angle très-dbtûs^on .c^rgiS:; est M^»g jaupâo®, mar-
. q;ué d’^peu grés autant de-points ou, de petites taçhS%>OTunes nue
d’écaiües j disposées/comme en séries verticales, altemativ,eraent
plus grosses ët plus peti.tes.Sa tète, sa poitrine et ses çagegires n’en
_ ont pas! Il a d’ailleurs, comme la plupart des autres, la, bande.oculaire
noire, ’et lë dessus ët le dessous dç"fe queue ont aussi un peu
de cette couleur,
D.-1^/22; A. 3/19 • C;4?S f . U j'"'V. '
L’individu n’est pas long dè plus de trois poudes.
^ La bibliothèque de Banks possède une figure faite, aux
îles Sandwich par Weber, qurReprésente un individu
long de quatre pouces et demi, que nous rapportons, à
cette espèce.; il ne diffère du notre que p^rçe qttë,/^es^
points sont fftoinsÆôjhfereiLx et que sa ,bande (sôci#l^iïi'é
^élargit davantage dans le haut : il est intitulé bôwe*epàrra.
MM. Quoy et Gaimard ont entendu appeler l’espèce martini
dans ces mêmes îles; ;
1. Zoologie du Voyage de Freycinet, pl. 62, %. 5, et Dictionnaire classique
d’histoire naturelle.
Le, Chétodoh; citrqw^et.
' {Chætodon -cîtiïînellus, BrouSk.j Douwing-prîrteesse, Ren.)
'Les màmes naturalistes• Oiit rapporté de. lile Guani un
chétodon a-sS%z 1 sèmblablèJ;atflpi'écéd,ëht',
• mais où les,,tachés, dùjdps?août di^pos^sur un- fond/jaunâtre’, en
lignes qui suivent le® écailles et jpàraissènt bleuâtres. Le long de la
base dVia dorsale, qui*ëst une jwrtië Tpùssllre, a des points brqns.
La bande oculaire est plus Oblique qu’aù précédent, ef'lûérée de
bMïrcfS ses deux bords:® Son anale A bbrdnt|?noire et un liséré
auneaubord intérieur du noir. Oit ne vôj.1 dprooir ni surèa dorsale
ni sur sa qùeue. Ses ventrMes'ëtses^ecttirales sont^ jaunes. }
D. li'llj, A-B/I6^ C.
Notre individu n’a! que deux pouces- dé l&îkgueurl 1
Gest manifestement un jeune deMespece que Renard
représente (i,repart.,pl. 8; f i | . | | ) soùfle nom de douwing-
prinèéssé. ’ 1 , / ' ' "'/-Z"",
Il existe dans la bibliotlfèqué! 6e Banks un dessin^de
iPaÀmson, fait à Gtaïti; qui èn*.repré&en1$ !un plus grâ'nd
que le nôtre, mais de même fmppe et cohÿrié'Ré môpie*.
I l n’y a pas à douter qu’il ne soit de Jqette espèce : ilfest
intitulé choetodon pjj.netatus. dJiie description. 4correspo n-
dante de Solander nous*- a it que dans.ije .irais les points
diy corps sont-violets, qu’il$y jeu a de yerdâtres sur la
dorsale,,: laquelle est lisérée de.blanchâtre. .Nous avons
aussi reconnu l’espèce dans un individu de la collection
de Broussonnet, qui est étiquetépitrinellus,-^ porté
dans le catalogue de Gmeliri, et que par cette.raison nous
avons dû conserver. Enfin^ nous en avons vu tout récemment
de belles figures dans les recueils de MM. de Mer