. Le P o ^ ^ ^ |^ E .D ’ÂR^|reÇorÇ^|^t^.it,ï.:
: (Poty-acànthüs éupanus, nofc;')’ |
M. Raynaud nous a apporté un très* petit polyaèànthe
de la rivière d’Arian-Coupang k Bondiîerképyy^
de forme Qblongue*, Meaudale pointue ; la partie ippue de sa. dorsale
et de son anale aussi aiguisée er&gjginte; le filet de sa ventrale
^n’atteignant qu’au/ ciri<pjiémeVpu.sixième rayon de l'analej son
épine et ses autres rayons1 mous bien pf|®oncéS. Ilést remarqdablfe
par lé petit nombre deWësraÿofis Mâiïs à la dorsale.
■ B, 14/gô A. 19/41 j P . » j V .'m
Dans la liqueur il paraît d/qn gris brun.âtr<?, avec une petite taebe.
noire de .chaque côté sur la-naissance de,,la caudale. Les rayons
de la caudale ont ffepetits points n,oirs.
Sa longueur n’est que de deux pouces sur„une hauteur de,.cinq
ou six lignes.
Le P o ly acanthe c h in o is .
(Potyacantkus chinensis, nob.; CUcetodon chinensis, BI.$
Çhétodon chinois, Laeéj&) ' ;
Le choetodon chinensis de Bloch (pl. 218 , fig. 1), dont
nous ne pouvons parler q u e d’après ce .maturaliste, me
paraît offrir, aux ventrales près, tous, les, caractères gérié-
riques des polyacanthfes : la même étenpue de lanale, plus
considérable crue celle de la dorsale; un ùombre également
très-grand depinès, etc.; e t je né m’étonnerais pas que ses
vèntraies, comme il arrive si souvent aux poissons apportés
de loin, eussent été mutilêès.. .
Ses nombres de rayons, sont indiqués^ oom^ae il suit ;
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