¥ "'fFentiBe des .ügnesi. de reflets brunâtrsS'. .Ses dents des mâchoire» sont
plus fines à proportion1, etîfea.clievron du vomer fait un angle ion
peu plus aigu, etc. .
L’individu est"long de septqjQk’ees.’ j
On nomme l’espèëë #ô*$f||i touèfiù:
- La REMiç i | f f i ‘D E ^ B f% 8EiFs&Ê&f'f
Xj&CPejnfjht ris mangula ^
Le tou-té-tou de la ‘*m|er du Sud ressemble en tout pour
les formçs-au mangula-kutti du golfe du Bengale qu k re-
pr^eigté Rüssel. Les nombres mêmes*paraissent aSsez sac-
corder. Russe! les donne- ainsi écrits à notre manière 3 j
, 1 'K% D.'6/f0; A'. 31/S9' C. 19; P. 18; YAp.
Mais il lui attribue une cotuetir générale rougeâtre', légèrement
mélangée de doré „et des nageoires d’un Jaune rougeâtre. Il ne fait
aucune mention ni du: bord ndir1 de la dorsale, ni surtout de la
tache très-noire, de la base de fe jpBto^J^ qpui est sii rèmaftÿiable
et se conservp cfans la liqueur et dan&le.sec..,! 4,
11 eshdone assez probable que c’êst unëk autre espèce.
Il ne para|t pas quölle soit commune k^izagapatam,
puisque Rüssel ne dit rien deises ugages, et se borner a,
assigner la taille de son individu, qui était de sixspouces.
La P eMPHÉsRIDE DE Y'ANICOiLQ.
(Pempheris vanicolegisis, nob>); g
MM. Quov et Caimard Ont rappdrte% d ë Yanicolo une
pemphéride qui nous parait, à peine différer spécifique-
mènt de celle de Rüssel j
car elle a les mêmes formes et à. peu près les mêmes nombres