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-'■jusque derrière les ventrales ; la cinquième, chj septième rayon dor-
V sal ’au-devant de ranu^GëllçsrGi commencent àse courber en afc de
. -cercle); la sixième ya du'commencement de la partie molle à celui
v î€evranale^la Septième' réunit les-extrémités postérieuffes»de ces-’deux
;> na gloires, & ^ffeottrïféè' èfcdëimtellipse ; les trois suivantes ; cour-
bées ên arc dë cèrole, remplissent la Concavité de la pFéeédenffc'iL
: y en a deux droitelfeur là qqeue,et deux serpentantes sur lacabdale.
Les cinquième, sixième et septième, ainsi que les-bleues de-leurs
intervaÙês, arrivées-sur les nageoires, sjy ploient diversement pt>ur
pélftt lâbÿrittdif; fl y à atïssî trlufà1 irrégqlîè^e^ent
“ plo^qs sur la dernière moitié' de la-caudalè'', dôiffi-tout lé bord est
' blanchâtre. Tout le long du profil du front à la bouche est une ligne
. blanche impaire, et il y en a une semblable ,spj||la*g@<g^ê etda poitrine
’ :
Le plus grand de nos individus est long de quatre pouces et demi
sur deux pouces et demi de hauteur.
Quoique l’espèce en paraisse plus commune que' ^rëlle
M ^ tn é triq ü e rn o u s n’èn trouvo^^pbint^^Wïbee dans
les auteurs. Les habitans de Waigio’uda nomment-mamf.
X ’H o l a c a w t h e a e i g w e ^
(JFIolacanthus alternons3 pob.). jj
line, espèce voisine, et cependant distincte, vient d etre
rapportée de Madagascar par M(M. Quoÿ et Gaimard.
Sa dorsale a en arrière une longue pointe aiguisée conime dans
Fànnuîafis; son anale est simplemeniangüieuse; du reste ^eâforjmes
sont les mêmes que dans le dernUcerclé.' Tout §on corps est brun,
semé dé .petites tâchés p l u s bruhes, qui détâéx%tènt au • contraire
p lu s pâles que le fond sur la queue et sur la partie mblle de la dorsale
et de l’anale. Sur chaque: coté -régnent sept ou huit lignes branches,
verticales, courbéès en arc de cercle,- là concavité en arrière,
alternativement plus larges et plus étroites; quelquefois les.étroites
GHAP. Vf.t HOLACAOTHE^. ’ , 1 4 S
, dicpayaisseut., en jÿftft.quA-le nombre »tjâi;al est moindré. Sur la
queué ÜÆ^eft a irJis 4 peu: près dy.Q^ ^ . La,caudale, en^m^fluffois
une ou deux, et une raipgée^de petits traits longitudinaifxj, d’autres
fois elle j£-a^que des .pqifij!^ A la tète dY en a une impaire le long
du cjâafifrein, étUrois qui parcourent Verticalement sa hauteur,
■savoir,- ume immédiatement derrière la commissure- d'es lèvreâ, une
qtu» passe-par- le 'borddaaitériéur de h.o|p|e^fet une derrière, le bord
postérieur. Une quatrième descendre la nuque sur l’opercule. La
poitrine en a-deux'uMiquesy’ïa'première aboutissant à la ventrale,
la seconde passant devant la base de la pectorale, et quélquefoisiune
plus étroite: entre deux. '
Dv13/2f; A.^3/19, etc.
Nos individus sont longs'de cinq, de six et de sept pouces.
■ , (HoJaGanthMS-c0rul^Sii Ehrenb.^* „
M. Ehrenberg a rapporté de la m^r Éoqge un'petit ho-
Jacanthë , d’un pouce ou de dix-,hqit; lignes, as§ez.iy.Q,isin
dès .deux précédons^ ,
et qui a sûr un fond bleu cfêmdigo treize ou quatorze lignes blanches
^ ^ tica le s, arques*etAlternativement phis'M^es’ëtplus1 étroites. Sa
’ ;■ caudâlë est jaune et arrondie; ainsi que1 sâvdoTt’&àlè et !sôn anale.
D. 12/1&J 3/Î5yètc. ^
Les Arabes de Massuah le nomment ghar.
L ’H ola/ janthe^a â ti '^ #b rESr ^
{Ho laçant h us 'seàcsMdtus, K. ëtV. H.)
Le Cabinet du Roi possède depuis" long-temps" un ho-
lacanthe à six bandes verticales bVunesyqne MM. Rubl et
Yan Hasselt, qui l’ont retrouvé à Java, ont appelé hola-
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