a la dorsale et banale arrondieset le museau médiocre. Huit
-bandes brunes traversent verticalement le.blane.de son corps.^La
première, Ou la bande oculaire, est quelquefois divisée en-deux;
la seconde passe par le bord postérieur de d’opercule 5 la troisième
répond à la fin des ventrales, la quatrième à -^a naissance de l’ànale :
«es deux sont un peu rapprochées5 la cinquième et fa sixième,
aussi un peu rapprochées; aboutissent- au milieu de l’anale ; la
septième trayerse l’extrémité de la dorsale, de l’anale et la basé, de
la queue; la huitième enfin est sur la caudale.
te. n -'t. itiQvî\/é:ut'
•Le Gabinet du R o i p<s|sièd^tUn petit individu de cette
espèce, mais sans note sursom: origine. Bloch assure t|ue
l’espèee vient des Indes orientales mais sans mOUs- apprendre
comment il lè sait, câr ies attteiirs qu’il dite h’em
disent rien; iîparaît n ^ à v b i r élff qn’ufo individii aepêCné,
dont il à mal cOmpté lés rayons mou§.* .
Iànnæqs t^vait rapporté la figure; ^|,;Sel>a k.sgji p ^ c a
nobüis, poisson d e l’Amérique sep te ntrionale h qui 5 d’après
les nombres de ses rayons , n e . peut gu ère être un chéto-
d o n s. Aussi Gtnebn la -t-n l laissé dans «les»
supprimant la citation , et a-t-il placé dans les chétoddns
le poÊ^ôff de-Seba et de Bloch.
Ge .perça nobilis est devenir le lutjan*magnijique\de
M. de Lacépède ÏY, p.
Après ces espèces distinguées par aes'bandes verticales,
1. Il les donne comme il suit, chiffrés à noire manièrea
' D. 11/Tï ; A. "S/ïï; C. 12; P. IR ; V. 1/5;'
mais sa figure ne.laisse pas de doute sur l’espèce.
'2 . Voici ces nombres rendus à notre manière : W
ï Di 12/13; Ü p i & 11 ; P."15; v. 1/5.
noms en placêvons iës bandes (l’oculaire exceptée)
sont obliques -ou lon^ttidiîîalë'Si.',p
■ ' Le Me y ek.
Lg (Chcetodon Mejeri, Bl.1) ,
La prenii'èie^êst' éeîl'è que M. de Lacépede^ la croyant
nouvelle, a nommée holacanthe jaunp-et-nolr*. en quoi
il ^cqnomis rW (Lune i erreur ; car ce n’est point unhqla-
canÆp^.inaip un cWtodop propfepaerrt d it, dont le pr^o-
pereule n’a aucune armure.-: il n’est pas jaune et noir, mais
blâme o u gps etmeâr$*et loin que l’espèee n’ait pas été.
décrite, elle l’a étéIplusiëürs fois. Renard F#représentée
( i . rü partie, pl. iS^fig-1 35 J sbtièlenofnfie d°wwing-mar-
quï^y&t même èêflf figuré Ijlsé meîïleüré que bèapcoup
ae celles dè son livre'. Gmelin a eu grand tort ue la rapp
o r te r a u chcetodon pnnularis, . qui est un hplacantbe.
Elle parait aussi dans Yalentyn (n.° 347 )♦ niais altérée,
e t s|?; nomme ikan-batoe-jang-aboe^aboe^beidmif ^Q ni,
dit-il y signifie femelle du poisson de roche gris. O n 1 la
té ta it beaucoup mieux { tf f ’4*8)' sOuf le tfont de pam-
pus de Cambôjè.
Bloch a introduit cette espèce dans son Système posthur
me, et Iy appelle jehoetodon Mejeri, d’après un médecin
' dans le cabinet duquel tfl bavait vue : il y
rapporte; avec, w so n la figure de Renard.
C’est un très-beau poissoh, bien remarquable par la direction
des nombreuses raies qui le diversifient. Il y a d*afiOrd une-bande
• noire à la lèvre inférieure ; ptjis un anneau noir qui entoure le
î . 1 qj/vrif. posiK.i'-p. ,220,/n* p].
2. Holacanthe jaunc-et-noir, Lacépède, t."IV, p. Sa<ej ef 559, pi. rï3*> fig. 2.