pour aller chercher d’autees eaux j «ét le peuple qui les.
rencontre ainsi sur la; terre, se 'jSgure-^q«,ilsiJMN^..%3i]d^é»
des. nuages. Les jongleurs f dent l ’Inde-' abonde, en ont
toujours avec eux .pour divertir la popula^vetles eufons
mêmes s’amusent des mouveraens ?quils leur font faire
pour ramper sur le sol. Leur »intaïqfa^riffclaf»f îqiifoaydlloL^
arrache les entrailles »©fc que l’on en e©upedes morceaux
sans les tuer d’abord,. et sur les m a rié s l’on en vend ainsi
des tranches aux. consommateurs ; mais aussitôt! quon en
a assez:- enlevé pour que le poisson ne remue plus ,, ce qui
reste perd -beaucoup do son prix,1* ; • *<
La chair des opbicéphales, sans avoir beaucoup de goût,
estlégère et de facile digestian;.eependantles lndiens seh;ls
les mangent : on n e a sert point sur les tables des. Euro-»
péens,. peut-être à cause de dèirr:ire^inèlanQe'«aâ^©»d^
reptiles.3.
à Les espèces. de ceigenreke .ressemblant beaucoup v®l iresfc
pas étonnant que les noms de iqoelqueÉéunéSMaienfc été
donnés à d autres, et qu’il y ait des cpnfusionsàeet égard
dans les diverses provinces de l’Inde. Ainsi, d’après John,
à Tranquebar une< espèce -.porte le »nom de karruvi, et
l’autre celui de vrai où de varal. Le premier -de nés noms
se retrouve dans celui dé koravê ou korévé,- que lesophi-
céphakes portent à Pondichéry selon M. Leschenault, et
même en partie dans celui de kora-mqtta, que Busssel
donne à l’un deee^ux de Vizagapalam. M. Hainilton Buchanan
nous apprend qm!au Bengale on le prononce gorayi,
et qu’on le réserve aux jeûnes individus d’une espège dont
l’adulte se nommé en bengali la ta e i entamoule mot a.
t . Buchauan, p. 5g. iM& i Dussumier, Mcm, manuscr.
Le, seéohd dès noms d i jïranqtmbarv '^mZ éiâ vaval^
retrouve dans-»eglui éesawaruip qui-«esfc aussi donné par
Bnssebà une d©^se$:t©spèc©SviQuant hmotay eestie même
nom .queii??îw?/^/t,. qui est uèité à yizagapatam, maisupour
une mitre; espèce»,qu’au Bengale, g,
AUéféSti#* il faudrait flttè; beaucoup plus instruit -que
nous^Le sommes,: des divers langages» deTTudostan, pour
pouvoir apprécier, la signification de ' tous »ces noms, et
mêmepourÿ distinguer, e e q u ’ils peuvent -avoirI de-générique
d’avec ce qui n’a rapp©rt>qdàc des;épithèt©S ou àr
<ffs qualifîcations d e ^ è f ^ ^
-On p ourrait diviser les ophicépfedesîd’après le nombre
de leurs rayons dorsaux. Les uns, comme ïxopkioephalus
pimctatus de Blotb-^u’en ont quci trente et quelques ;
d ’autres, comme son ophicephalus striatus, Un onttqjoea-
ranje Ou davantage|-d’autres^ ienfin ,- que M. BuçkanaU a
fait connaître,;en ont plus de cinquante.
. L ’O pHXCÉPHAÈE .KAROUVÉ.<
fOf^BêpKâlnsprni&icff^fm.1^
Parmi.- les. téspèo$Squi n’ont que trente .et quelques
ra y o n s ,,tro u v e la première. qu i, afpjété le karde
Tranquebar: ,què Blôçfo( p l jJ£jjÉ|^ a nomméopèf-
cepèa/uA pM$cf«ïn.5,î Je. le crois le même, au bienp^u s’en
faut, que le koravé qui nous a été envoyé de Pondichéry*
et que le goraji ou lata :àu Bengale dè M.. Buchanan..
Cependant, pour mettre les naturalistes ei| ; même d.en
A. Qphicéphate karowéi> Lacép. ; Ophicephalus lata, I la m v]3kéh.