3 3 2 ÀDDITfOPîS' ET ûOKRBCTttWrS.
- Lés délits du berschiek sont plus petites et plus égales que celles
dîjb-safidre. Les\deux-aorsales sont plus hautes, eltas nombres de
leurs rayons|S ainsi que' dé èeux dé l’anale, sdht ''exactement ceux
que Pallas indique. Ainsi l’anale a d^ux raypns mous de moins, que
celle du sandre.
D. 1 3— 1/2^1; A. 2/9; O. ITy P. 15; Y. 1/5.
La tète est un peu plus courte, les yeux un peu plus rapprochés
du.bout du museau, les dentelures du surscapulaire un peu plus
prononcées..,.
Les couleurs paraissent plus vives et plus semblables à celles
de notre perche, ce qui a pu motiver l’opinion que ce poisson est
un métis de sandre èt de perche. Le dos1 est vérdàtre, à reflets
dorés ; le ventre est argenté. Quatre-bandes noirâtres descendent
.du dos, et s’effacent aux deux tiers ’dé la hauteur déé .flancs. Les
taches, et lès [lignes sont beaucoup plus prononcées iu f lés paj
geoires du dos que dans le sandre: on en dompte six rangées longitudinales
sur la première.. L’anale est blanchâtre, quelquefois
' noirâtre. La caudale est tachetée dé rfoirâtré - les na'géôirès paires
sont grisâtres.
Nos individus sont longs d’un pied.
1 î>Æge 12 o, après Farticle de Vapogon méaco, ajoutez :
X ’APO&Oît OREILLARD.
d ^ p o s o n auritus, non,)\ -
M. Dussunaier. vi.çjttt. de rapporter de. l’Islejide -hjrançe
une petite espëoe<iaou¥elk d’apôgon,
remarquable*par fa tache noire, entourée- d’un cercle-argenté, que
ce poisson porté sür l’opercule^
La couleur1 du corps est brune, sans bandes ni tache«; celle
-des nageoires y brune et lavée de rougeâtre.- .
* à -D.
La caudale, est. coupée carrément?
L’individu a troiépouces dé longueur.
T 0 M E ‘ ïî. • S HR R A N S , D M G O P R S.
Pagë!â 4 iy àpréS?Fiârticlè'dl'îfll^bf rMsiJ®| ajoutez :
I l
' "{Serranus pa^Ertifuis i tiob.)
Un très-iQUipetit,wran fjenr|.de.; nQ.ps être rapporté de
Bomb;ay par M. Dùssumier,
À a le museau pointu, le'do'é arqué, les épines de l’angle de
l’opercule longues et féftes, des dentelures sur tout le bord.
Sa couleur est“rougeâtre, et les quatré premxérs rayons
mibué^ëla dbrsàlë fl y # u ii“,#c‘éilë aifr;
“ |;enté très-brillant. D. lo/lV; l!
La caudale est couplncarrément, et paç(aÎLjaunâtre, avec une
petité ligné vçrticalé hbire a sa base/ Les autres nageoires sQnt grises.
Notre individu n’a qu’un pouce, de long; niais fl est st; bien'conservé
' et 'caraeferisé que nous n’avons pas’bafaneë* à le regarder
comme d’une espèce nouvelle, facile areconnaître.
Page 3 1 2 , après l’article de la diaeppe de Séba} ajoutez^
La D ia c o p e b o u r b e © i g . .
( Diacop civisE nabi)/P
On côtîn&ît aux. Seénelles-; soUs le nom de bourgeois f
la diacope 4e Seba j e t tfrîe huff'e espèïlê fort vbîsine,
qui n’en diffère que par plus de .concavité dans 4 'e! pyofîf entre
f èXtrémue flumuseé®jjlgg Ifeu, par un dos ph®,eïeYé, par un ÿdl
plus petit, et par une dorsale plus hàssè: Lé tqbérpsité de^.inter-
opercule est plu§ forte, ee qu i rend jfffff fiir 1**"1*
plus grande^- L’angle de cet os est plu^ i^i^feVérs l |paute. La
fente postérieure de la nariné est aussi un peu plus grande. La
dorsale, et surtout la portion molle,.est un»peu plus basse; si il y
. a deux rayons mous de plus à l’anale. ; ,
■ vD. 11/18; A. 3/8, ete. w/