tïomve daùs la rivière de Mahé; mais oh dit qu’ils vont
aussi à la mer. Ils y‘ pottent lé; nom de eaitcAe/,* qui tép-
partient également aux autres ^espèces du genre. Les teintes
dans le frais en sont décrites €omme verdâtres suivie dos,
blançji|s ?ops le ventre e t jaunes auxventrales. '
, M. Dussumierepa rapporté de fort beaux duMaissour,
où ils vivent dans les puits. |
MM. Quoy et Gaimard en ont eu du lac d’eau douce
de Tondano, dans l’île de Célèbes* situé à deux mille pieds
au-dessus du niveau de la mer , et qui est séparé des parties
inférieures des rivières par une câsèade’ dé quatre-vingts
pieds de hauteur. D’après la figure qu ils en ont faite sur le
frais, le dos est noirâtre, et il y a du jaunâtre a la base
des pectorales et des ventrales, et autour du mu&èaù:. De
très-jeunes individu#,-pris dans le même lac, ont, le long
de chaque coté, une bande d’un jaune d’orpin. L’espèce y
pârviënt à une longueur de deux pieds*
M. de Mertens en a trouvé à Manille, où où les nomme
bakule.
Les individus à quarante-quatre et à quarante-cinq
rayqns dorsaux ont été apportés de Pondichéry par MM.
Sonnera t et Raynaud , de la riyière d’Ougluet de&i,étangs
d’auprès de Calcutta par MM. Dnvaucel, Rayaaiid. et B é-
lengeï1,' et de l’Iraouadi, la grande rivière du pays des Birmans,
par M.Raynaud. On les nomme à Rangoon na-pino.
Uophicephalus striatus, ou varàl de Tranquebar de
Bloch (pl. 35g), présente assez exactement les couleurs
de ceux que nous venons de décrire ,> avèç lès jnageoirés
barrées au tachetées de noir, et le nombre de. ses rayons
dorsaux semble même lier ensemble les deux nombres
extrêmes que nous avons observés, puisqu’il est intermé