d’ejpre eux, longs de six poucesf ont deà-bandes* sans
p oints,, comm^i’iûdii|ke BuchananihÉs> autres, longs de
neuf j ne montrent p lu s s e bandes ; mais on neletfr voit
pas êncore les points qui doivent exister sur lés» adultes.
M. Lesêhénault dit que l’espèce du karouvé habite eu
abondahôb les rivions et lés' étangs d’eau douce des environs
de-'Pondichéry, qu’elle parvient à une longueur
de dix-huit pouees et qu’eHe espbônne à manger.
- 'Selon John^ cité par Bloch, ce poisson est commun dans
les 'rivières5 et le s la è sd e la côte de. l&oroniandel jpdams la
skisôn’des pluies, tous les étangs', les ruisseaux et lès Canaux
eu fourmillent, Aü mois de Juillet iftSftourne d a n s é s lacs
pour y frayer. Sa chiür f)assf; pour très-saine.
.M. Buchanan nous apprend qu’auaBeàgale les jeunes
individiis seüls s’appellent du nom d e g o ra ji, qui est le
meme que celui de kouravei un peu autrem&nt>prononcé ÿ
niais que,, las adultes s’y nomment luta^f et qu’en tamoiïfc
ils portent le nom ^générique *de mota. Il ajoute que l’on
trouve cette espèce dans les étangs de^toutes les parties
de l’Inde qu’il a parcourues, quelle nêxôède pas un pied
de longueur, et qu’elle passe pourinférieure assola comme
aliment.
* Ôn' a vu qu’il y en a des variétés dans îes eaux du Malabar
et du Pégu, ou qu’il s’y trouve du moins; des espèces
infiniment voisines.
Z /O fhic é ph a é é bo r d é .
Ophicephalus gachua,
Buchân.?)/'
. T Avec l’ophicéphale précédent, et sous ce même nom
à& kormé, M.rLtschenault nous; en a enmyg§>un autre