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borne à dire iqu ils JbaWtent les étangs. ;dbs«i
dqpf^iflîi- ■ Hamilton ®iirW«nÉ0î, daùs ■ son Histoire|.des
poissons^du. »Gange (p; 99) ,«& plus loin, et-peut-étre trop
lo»^i®te-:sé«leinent il ftîe le fait, <mais il le-regarde comme
contraire à tout l’ordre de,la nature, et Suppose que l’observation
de Daïdorf, dont le téraoignage,s’eül lui était connu,
était dug-a gu f î^ ie eirçpnstançeçe(^^nte|le ^ont«e patu?
raliste n’avait pas, su se ’rendre ^çpip te.
Un poipt du moins sur lequel.tousles^observateurssac-,
cbrd-ent,ét{quisexpliqnepaFlacbnforpaation^paTticùlièm
de«p^uEyn^#n& d%ce poisson, c’est que -c’est urfuslébceux
qui vètërit 1^ plusfobg-temps hors d e i’ëatï : ibràmpe^tferre
pendant dès heurës'entières ; les pêcheurs le tiennenttcinq
ou sixqoürs dans u n vase a sec 5 on en apporté aingi en vie,;
au marché.de.^alcujt^^dës, grands marais, du di£txi£t ÿ ë
¥aa|>r, dont ladistaoLfid^st d c i d ^ d e cent cinquianite naSles,
.Gomme on en rencontre quelquefois àjdmssè» grandes distancés
des eaux, le peuple tap^oi&âomfcé^dîq »iel^at il ®ia
aménie-opinion, et pan'la même raison, de -quelques autres
poIsgOBS qui jouissent de la même p ro^riité q n é l’a u il^ ÿ
e t qui la doivent à la même'strucpâfo^ notamment vdés
opbieépbales. Les charlatans et jongleurs, dont l’Inde
abpndç.^pnj généralement de^eg, pojgéQm ..eux.dans
amnsgç îa/pqpulajae/^fo., leurs. monv.eniens.
i l » ajttnbüift amsi à l’anabag des vertus Kbédicales ; .les
feinmes crqient qu’il augmente leur lait^ Æt.des hommes
qu’i l excite fours‘forces ** çe qui en multiplié l’usage, bien
qu’il ssqit petit èt abonde en arëtfes.?
7? A N ABAS. SEim A L,.,,,..
11 -^iJlrtctbciS' al â.^ijdnth ias » $f
i*. Kteséudineus. foKkfo $
’"^Ë’Ifp ee e 'sur ’ *obéemflMI '
faitesTte ^ennéZ oë T^r'ànqpiepar, lé p d n é -iré de ^ r 6'ma,n-
cfel, le c o l du Be ri^ l^ , & £d i k i n g ^ entre
tous rëgjoxssons par tes^tentelures’ du *phito tfoarTes "nombreuses
petites epines p o in tu e s * ^ îp ^® o u p e n t tout le
bord 'de soV’ép em ïr e ‘wët de son sous^ p ér eu le.
Son cpros est djméfqrine .ohIong,Uë,l sajlmteu^foest, cjuW peq,
plias.de trois fois danss^ tmgupur. La longueur ae^sa tête est xn-
nOTeunpcm m'oindre que ^Hauteur, et*eUeelt^ u n tiers plusliaute
* qué1 ll^gft^SaîlWxOTpfammîuëd’épaisseur: ir^ ^ ^ è^ S së# com -
* prime ën arriére.' ’LÆ^d'esife^^sa^tete 4a* Hes e‘(^iîl‘?^'MygM%ÿs - 8u‘
rhoiSBbïdàtes‘tiônâ^dqùSs^S "plus^pemeà êfêUes51#
J0tess'pores>y sont disposés Sur plusieurs- xangéesa une de cinq^ en
tra||mïsur>le qBâxyî, du bordpofori^lffom otbitefo l’autre;, une
, ,4e djnXji. iur lefoqnt
L’ouverture supérieure de la narine est.un peu au-dessus.de1 tprbite,
'* tout près cie sçnWra «m avant ; riute^ ure^e^ pri^ ^ nu, ! ^
**3ëssus au sous-orbitaire'; ’elle est plus grande et* garnie HW petit
lobe charnu. Le ü^æoMirb^ ®x’inteftnâSu^rë^oni Wffideux'fort
%tèéits|% SÔés-éŸBitàire’Fest éuM^ Ses dentelures antérieures sont
plu^lôMésvqùedesàut-iés, et se'dirigenl exi avant; le& suiva&tes'sont
très-fines. Le préopercule est à peu près rectangulaire, sans d'érite-
Juxes. L’opercule est fomi-circulairev h es âenteluçes.pointues garnissent
tout son bord, et .celles du milieu f o r in t deux groupes
plus, saillans que le reste^ntre lesqnels^n’^ sWt..que fo io rt,petites,.
qui manquent même, quelquefois. CeU.es, du sWpperculë sont plus
égales,^ et se prolongent davantage eh sillons sur la surface de la
pièce,*qui èst b'ëâucoup piusjnobile qu’à l’ordinaire, et doit être d’un,
grand nsage au poisson’, sÔit pôür grimper;;’iêit pour sè défendre',
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