CH A PITR E PREMIER.
Des A n a b a s (<.A n a b a s nob.}:-
J ’ai nommé ainsi, du verbe ocvuftc&ivce (j*è ,m o n te ^ |u n
petit genre , dont je ne er@is’p<assédteeneüre qu’uneMespèce-
décrite par Blo eh 3 2 N }osous le 110m d’arithias testudineus,
î ë&ïreeennu©* ensuite par Schneider ( p. «70«) pour
identique avec le ^enn^^ de Traiiquebar®ude p erca sc««-
dens de Daldorf1. (smtHamphiprion scansor de Schnéider.9
G’est aussi Xelutjan tortue de M. de Ijacépèdb (t. ï¥ , p. 192
et son lut j an #$pSÉMÉ|pj|| Car ce
naturaliste n’a presque jamais pris le soin de rapprocher les
descriptions* des différens^uteurs, pou* en >foire ressortir
l’identité j il aimait mieux inscrire une espèce de plus-dans
son ouvragé que de «la discuter.- i
Plus tard M. Hamilton Buchananifç»; g8 ) a décrit^ee
poisson sous le noin de eoius cobojius^ e% en a donné une
bonne figure (.pl. i 3, fi g. d8^ft«nâl^il n?èns?Cst pâs^qttestion
dans Russel^et je ne trouve dans Renard ni dans Vàlentyn
rien que Ton puisse^ rapporter.
•Cie genre se reconnaît à ^des caractères extérieurs et inté*
rieurs très-sensibles, e t aussMaciles à èxpririsérï^ii'à Saisir.
Le plus apparent, c’est que par une disposition toute contrairej
à celle qui a lieu communément, les bords de son
opercule, de son-subopercule et ®f%c^i iiiteropercule Sont
dentelés^tandis que celui du préopercule ne l’est pas, et
que même*cetteipièce iravpoint de limbe distinct.
1. Trans. Soc. linn. Load., t.JHÿ.p. 62. -r*.2. Blo&h,;.Sr.sf., pi et 570.