H tapexsiènae, qtiil pYtovieitt de Ifaracieaiïe! coIlëetMli
da Stadhoiider, :
n’a que des taches rondes,, quatre épines, jet dix rayons mous sélï-
lement ^ la dprsaléTj Séize r^yoiisjiaous a l’anale.
Ges variations dans les n o à b r ë s dés Rayons sont pins
grandes qtte be'ânfcôùd' <ÿàF&tëres espèces.
PàlîaS compfcâitâk dorsal Quatre ëbîfi^1 ëf Æèr nénf à
onze rayons mens> J t dat Fànal'e Quinze rayons mous. Son,
individinr#pr4sèW$ les 'PratBsaeôcoefâ avait les taches
réunies au brun du ifbfta
M> Buçhanan; compte les rayons ià peu près comme
nous dans nos échantillons dmGange' ( D. 5j/4»2 j
Sa, figure ne montre (jüê, des ttacfe& ^ n d es?; la (juatriMne
est double et k cinquième manque«.
■ iHfous tROuvons dfans les? dessins rapportés *de Malaéaî pasr
M. Farkliar y une figure de toxotes
. à cinq épines à la dorsale, :et qui aide long de chaque' Coté: du dps
une double rangée dç taches rondes et neîre&) six à la série supérieur
e et quatre à rinfêriçufe,. .
. Le corps est d’un gri$ argenté, teint de
dorsale §st verdâtre, avec un fin.liséré dÉ&âtre;,L’anale grise,
. avec un bord plus foncé et pn liséré noirâtre..' Les autres nageoires
sont jaunes, -ël sur les ventrales le jaune est teint de rouge. L’iris
est orangf.
I l se pourrait que c e fut mie' espèce différente dés autres
; mais bons ne poupons donner les nombres de *f£s
rayons mous.
L’anatomie d’un toxoles de Java nous à- mon taré un foie: assez
petit, composé d’un lobe gauche: triangulaire- beaucoup plus« fort
que les droit, auquel est suspendue une vésieuie biliaire grêle et
pointue. L’oesophage est assez long, dilaté en un estomac glofcu-
Deux., dont la d ou té e est sillonnée: par de grosses rides Àfrégu-
iièrmLg «branche mnmafte «est «tPèsqygrâe. ïfai trouvé neuf appendices
coecales , disposées, rai «nercle'Autour, du pplore. Le duodénum
est large , < semante jusqu» tsobs ie; diaphragme, <et alors, Phitefctin
devïeqjîwès-grêlé^t ’ il se replie'plâtre ou cinq fois Sur hdéniême.
La rapj ^^petiiiç 5pt itrièd^e. Æ^Sg.orgaqeSÿde la génération, sont
pèu gros, et rej étés 'Vers l’amère de la cavité abdominale. La vessie
|ér,iennee est grande, simple, ârçrcmdie en ayant, et teMuuefe en
pointe en arrière. Ses parpis sont'milices et transparentes. Léjs eptps
rougés sont trèsrdéve'lojipés’,! et forïûeilt d’eux .larges rubans épais,
qui occupent de cbâqùfe!‘çêté] de l’épine la longueur presque entière
de la yessie. jLes reins sont très-petits. r
L’intérieur du canal alimentaire était rempli d’une grande quantité
de petites aiguilles noirâtres, à surface rugueuse, Nous ü’avons
pas-pii reconnaître d’où provenaient pès^singuliers corps. |
Nqûs avons aqssi disséqué des individus pris sur la,côte de
Malabar, et à/einq épines« dorsales., Ils avaient l’estomac,beaucoup
pliis grâûd, à parois pliis minces, sans aucunes ridés, à'Tintérieur ;
sept longues appendices dûèbalês entouraient le pylore. Le reste
des intestins n’était pas assez bien conservé pour quevnous puissions
regarder ces ; différences comme spécifiques. L’estomac était
rempli dé petits crustacés.
Enfin un troisième individu avait l ’estomac tout-à-fait semblable
ait précédent 5 iLétart rempili de fourmis.
Dans le squelette du taxâtes on peut remarquer, surtout le crâne
aplati, qui n’a de chaque; côté qu’une légère arête ,â».-dessus du
bord de f orbite, et dont la crête mitoyenne est tout-à-feit en arrière.
Le corps de l’hyoïde est fort comprimé, l’échancrure du cubital
très-grande. Les côracoïdiens descendent jusque tout près du bord
postérieur du bassin qui porté les yraKjrales. Il y a, dix vertèbres
abdominales et quatorze caudales, dont les trôis demièiîeS' S'unissent
pour former la . lame qui porte la caudale,' Les/é^atre premiers,
4 interépineux ne portent point de rayônsï Les suivans, qui
portent les épines de la dorsale, sont robustes et dirigés obliquement
en arrièreee qui occasionne la position singulière de