38 LIVRE VII» SQUAMMIPENXES.
court, La partie tfïblle g^àa dbrsaîë @st en pointe* aiguë, qui va
presque aussi loin queL%j<»udale. C’est le cinquième rayoîi mpu,
qui est le plus^Sg- banale est simplement anguleuse ? la caudale
est coupée darMïiïJiÉ|t.î ?
D. 14/16^1.-4/1&- C. i f ; R l-â; V. 1/5.
Sa longueur ést de cinq-pouces;' ■
Nous, devpns #airo remarquer, aussi que dans cesdeux
esjteçe& tek dentSïipjpweîJiîes atta cbée%en. paquet au-devant
de la mâchoire^ sont plus lohghes quê tes autres et terminées
en crochets4. Ce* sera peut-être SÉl jour un caractère
de^ ^ b iè -g en r é :T';
Le plus grand nombre dis nbqtodons’ânnrno|ÉlWar-
lons^ja ses stries latérales,,,oî>%ues, j et trèsrMuvent, elles
sont à demi crgisées,. c’est-a-dire,qüe lesantérieUres descendent
obliqü'efnent d arrière èn rSvarîf ^ Jt /que tes 'pbs-
térieures montent dè faiÇÔh**à rencôhtWf.Ja dëfüfêrel dèà
antérieure^ , ët à yabbutir pat des angles droits o u a ^ ê u
près. Elles fes eimkeraient, û
L é ÇhlcTôDbN ‘VAGÀBÔ^B1:
( Cficetodbn vagabunctüs3 Linn.)
Lé choetodon vagahunâus de LinnæuS ést l’exânpîê le
pliik cônnu de ,cette dispositioü.- S 1
I l.3 le museau un peu saillant, et le profil concave, f>a dorsale
et ,son anale sont arrondies. Les ligne» brunes • de là pajtie anté-
fiêure de son dos, depuis là dernière épine.de la dorsale jusqu’à
la pectorale, montent obliquement en arrière. Celles du flanc et
du ventre , en arrière de la pectoralemontent au contraire ofali-
CHAP. I. CHÉTODONS PROPREMENT DITS. m
quemenl en avant; en sorte que, si elles étaient eontinuées, elles
|-v vflffifca nue liande
, ncfirÊsTqui suit'laj,^se,.de la partie molle de la d o r s a l e l a
■ hase de la queue^ ’et descend sut-nhe moitié «le la basé,de te partie
molle Fana}é.’^jff£oéti,e5 nés pariifesMé'1 nagemçes. sont bordées
de noîiy liséré blanc ; oesiir l»q®nâe^ll deux ^ndfes
boites, dtônt'lcfeÜe qui est plus preS^dte la hase est un peu jeu unissant.
Le fond de la couleur es# phi$ bU metas^jaune. Dans le frais
•jr ,on voit-sur le brunâtre du front quelques lignes transverses jaunes,
qui" se perdent ©ar^la déssMeatipnd,4.$
v«,v©.vl^2©i:'M à/2i "l
La disposition et même la forme des viscères du choetodon va-
■ gétJburidus ne diffèrent p r e sq û e 'i'p a sq u e -çfèub âvefos» observé
, dans le choetodon striatus. Le foie; est un peu plus>grcis:, et la vèi-
:sieule du fiel plus, petite. Le calipLcbqJMoque s’ipsèns au même
endroit sur le; duodénum. Il y. a^deu^^oepupis de ph>s.,aq^pjijLpre,
fc’est-à-dire huit à giuchq et deux, à, droite1dèil,,esj.mnac- La ^çssie
natatoire a un peumoiris* de capacité ,'et^ ^ ^ ârhîl^^g beaucoup
plùs; minces!-“ -4-
jGe^poiss.on, aTeté rapports de llsle-d e-Fradiée pan Pé-ron
« M . Freycinet, l l f de y an icjfc .Ott«MBl^ ain3ijtrd
fo rsd e leurcsjif>nd voyage! Il habite apgsi .les Moluques,
car les mêmes naturalisées l’ont . rapporte ..d’^mboinê^On
en trouve dans Renard (î.^p a ft., pl. 23,£ g .iS 6) une ligure
prise defVlaming ft}.6*2 l'h), u t correctement^ejsi&ée. Les
Bords y sont,seulement .enluminés'en rouge^-"aü Tbçti me
noir ou de violet. Renard l’appelle douwing-duchesse y
dans, Vlaming elle qsi,jeja .pCfet,étiquetée, Jo yvŸingThqrïo-
gxniie^miais il r^pj^elle au§si-niaj:or. La figm^,$le Bloch
(pl. 204) est ^us^i très-bien 4 e$sinée ÿ. mais Laite d ’après
le séCjp elle ©sf eoloriée trop eh bmmirSf:.q
Bloteh cite uians' sk synony^mie. -^üféques figuresh qui