« O n à iDjidda-, selon
'gütr^ëk db it-tctbetki MBÉ Ehrenberg M j ent énd u âlapdele r
gallanf à.Mâfeguah. Il erftscömniun ,dans tfrjité' la ràer Rouge.
O n 're aT 1’lsle-de-Fràhee^MuU%'yardins vient
deffienyoyfer dedà atóOtd»i net,du Roê, ce'qui nchis-aMénué
la facilite d^n faire flan atomiee|,l_
A l’ouverture- de^Fabdomerr on trouve les intestins entourés* et
* presqUe^cafenésipar des« épiploons-’graisseux ^très-épais.-BaP'gra'ïsSe,
blam'che ht dé; péu;|dejçpj^istanee, semblable* à dedhuile fifplè îj était
f ranaas## e%»gtWde ;nik^ entre T«^oiôaç\et; la vessiët nat-àtoiré.- Il y
enavait même une a’ssefcgrandèquântité dans Fi®téri0ÜT’de la Vesèie J
niais elle était/ moins blanche et moins «©lideebbôrenque'fielfc qui
äehtsufeitdSn^fstin. L’estomac-est-ua grand sac arröndi en arrière,
un peu comprimé -latéralement, dont.les parais .ratin^VImëBilira-
■ neuses “et, transparentes ne nous ont-offert aucunes*
t<à*F extérieur. Sa capacité: équivaut à*peu près! au tiers de -Geltende
Fabdomeh. L’oesophage-eSt^a^ïmL qu’a peiné^ ë ^ Sù-dëll^du
phailynx ,*1bu derrière de vérs le milieu 'déda^ce
infériéurë qùe Föh vèît îûaîtfé la biféhcl nÂntàhté’j ®M|È#®lÉgé
: öbllq«iehtón¥t%i's'lé diaphragme. Elle est «cfturBe:; et sésqÿàrois ttiiiSr
I culeusês- soat assez épaisses.^ *
-• >*Le pylore, s’ouvre par un trou trèsHét£ôit. Il est douronné-par un
trèsrgrand nombre de cæcums courts,,: grêles, .et, fortement répnis
entre eux par du tissu cellulaire graisseux. Le. foie énUt entièrgment
dÄhSt ; niôus n’avons pu voir qué‘l& véâèute -d$eüet, qui est gfetóte
eSâFèhgéï^SëspaTôissônthlanchesvfibrieuse'sertïrès-soiidefs.
L’intestin' est grêle etTait plusieurs replis ‘aVâïft’^fè déboucher “à
l’anus. Les parois ensontencore plus minces que ceRe^de^T^stoaaac.
La rate-est grosse, brune, et placée à drokedeI’estopïW»eWift lui
' ét* ïintʧtioe£ ’. ’
’ i,es laitances de notre individu sont rejetées vers l'arrière de l’ab-
domen, auTjdessous de la vessiç açrienne. Elles sont inégalesj c’est la
droite qui est la plus grosse ^et la plus Fougue., !.
La ves^ïe’aérieiHie eSttrès-grande; eMe;occupe toute'la partie su*
* @ F é r i e j se bifurqpg^psuiie de manière.^pépétrer
entr^jesl^ usnl^ ide^la.qqeug^,au^ç9^,«3^:,afcOBhy.SÆ5. P$èp.£J4ses;
inférieures deIa.<‘(>limi^ £<^,Cwir<^ont2randes. çg^lj|Sk
“^enfee .eües- . e Iongue. que le- corps de^ la^ iressie'1
^^liêmef ^jpalmf sOnlt'~ t r emem argehtees.
'^'Les réi^'loMt !fSurfsf^n^rar^^t^®çu|)ènt ' 1 a même lbn'güéur
\ " que lf^qfps cté Ta v*éssfe’ aérienne. ïls’^Hpm Fumie 'dans* «ffifiiré-*
1 térêjUassez--longsy quildésèencfent entre les;-,deux cojæies-efe la^e^sie
i aérienne, Âu-éfes^busyd’elles ils*ffie4repfleht«consïdérablemcnl, et*se
rétrécissent ensuite«, enmijs petit conduit;<jils^débouchent dans une
, vessie qrinaire assez,grande, plaçeeqemèm^esriait^(s,es., (
JVoias, ay ons dp,uyë Festpnâàc rempli ^escreveues^Lelsquelette de
, .ce psettus rhombèuS fce -fait remarquer paæ a elfevatiori, et.Waninceur
de naitoyenne de-son- crâne,.dont lès crêtêsdatérales-sont
i a» contraire, trèsftjasse^.-Entre lesCrâne et la. première, épinerdorsale
il y a tmis interépi-neux4> sartst iayhns. Eè bassin représente un, arc
mjûcÀ.e^çomprimé, qui porte à son .extrépiité .postérieure les deux
épines ventrales. Je nedui trouve que neuf vertèbres abdominales, et
ÿtquatprze'caudales. Le premier -intei'ëpineux de la4‘quéué*'remonte
jusqüiau -corps de la vertèbre'3 au-devant de l’apophyse épineuse
id^^Msntbÿ sa partie-inférieure'est dilatée cFarrièfë en àVant -ért
’'ud^grmdelàmè triangidaii^, qui se porte en avànt , et n’est séparée
du bassin- que par l’anus. Les deux premières thaïes ^sôn|
attachées à;eet interépineux. j
L>e PseTTO’S CoMIÀERSON:
(PMïïus Üomtnersonii, noh.'j Monodactyle fatciforrneÿ <
, ; Lacçp.J ’
-^îfotre troisième e‘sp4èdfe^&t'Scéïïë"qui à été d^lérïtfe’pâr
Coxçtpaerson ^ous. le mom de psettus, et .dont M. de-L^Gé^
pède (t, III, p. i3 i, i3^ et t 33^ a fait-son monàdactyle
falciformè. Il s ed est trouvé dans les papiers de pommer-
sôn une assez bopne .figure-, que M. de Laeépède ( l II,