titre ;ril «Icp manque AJa, tété. qw dans 1» pâme, inférieure du inu-
. seau « 1 aux mâchofresftSte |a second© dorsale elles s'étendent
presquejusqu’aubord, La ligne latérale,courbée comme;le
dos é%d#ïneurMit un peu au-dessus du tiers supérieur, se manque
paj bne dégère éleVure tubulèusé à chacune dè ses éeailles ; j lle
atteint jusqu’à la caudale,
i^Spowttjee poissOu/paraît dans la liqueur teint de Brunâtre, et é&-
pendant,.quand on le regarde-de près, on voit que chaque vcaiüe a
le.milieu couleur de laiton, et les bords cpuleur d’étain. Six bandes
verticales obscures, peu prononcées et de couleur inégale, se dessinent
sur ce fond. Lapremière va du sommet de la tète à l’oeil, et
if dé l’oeil à la gorge;- c’est une vraie bande oculaire; la deuxième va
de la nuque a la pectorale ; la troisième, qui est plus étroite, de la
partie épineuse de la dorsale au ^tiers inférieur de la bauteun^du
cOVps ; la quatrième, de la fin de la dorsale épineuse à la portion
correspondante de l’anale r c’est la phus, large; la-.cinquième,. dumi-
Heu de la partie mollfîde^a dorade A celui de l’anale; enfin, JL^en
a une sur la fin déjà queue, à la- base de la. caudale. La membrane
de la dorsale épineuse et les bords antérieurs de. la-.seconde: dorsale
et de l’anale molle sont plus bruns que le fond, et les Ventrales
sont; noires. D’après lps notes que nous a CQmmunîqùées
M. P o n ces bandes verticales ont dans le poisson frais une teinte
bleue, et le fond de sa couleur est. plus blanchâtre que brun, n
Les bandes, comme d-arrive d-ordinaire , sont moins pronon-
cées dans les grands individus que dans; les petits,
v-; Nos individus ont depuis trois jusqu’à .neuf.pouces.
Le squelette du faber a la crête du crâne comprimée, mince , fdè
la hauteur de moitié, du reste de la tê|e. Le bord antérieur, en< est à
peine un peu épaissi. Il y . a trois interépineux grêles entre- oétte
crëteeheelui qui porte le premier aiguillon dorsal, Aucun interépineux
n’a de renflement Les premiers de l’anale soTii seulement
plus forts, et soudés ensemble pour en porter les aiguxllons*cdmme
dans tous les ebétodons et la plupart des acanthoptérygiens, Il y
a neuf vertèbres abdominales et quatorze caudales; leurs apophyses
- épineuses sont compriméesfcet il se pourrait qu’avec l’âge quelquesunes
prissent des nodosités, dont il semble que l’on voit déjà des
:vesÉg®iï.l^
Il y â quelque variété dans là longueur des pointes des-
nageoires de Yephippus fa b ç r f^ n (en, voit oîy elle^fse déduisent
presque-à dire saillie anguleuse, et d’autres ou elles-
vont .aussi loin en arttèHO*que la caudale. Je -sôupconne
que?’’c’est une dë<fes <derrliërés variétés, esquissée* par Plumier,
ët .copiée de lui dans^lë\grand ouvragé :de Bloch
(pl. 2*i'i, fîg. 1) qui-est'devenue choetodon Plumieri.
Cette idée me paraît d’autant plus plausible, qu’une^oing
ïure iaite'par Àubriet cTapres;Ie même .pessin , pu la même
esquisse .de Pluipier, donne aux bande^ non pas une^tpmte
verte-Jpmme lënluminure de Bloch , mais une t!einl©rbîeue
telle qu’pn üribserve dans le faber frais. Il est certain aussi
qu’il ne mous* est jamais venu des îles d’éphippus dessiné
& m e cette figuré le représente ('avec six bandes entières
éf[ sans tpculaire).
Lé choetodon Plumieri n’existerait, d'on^ipas, et Bloch
semble l’avoir praàé lui-ménre, puisqu’il a exçlu„ce.tte espéré
de~§on Système posthume. Cependant <Er’éfWunâque-
ment d.eyee choetodon. Plumieri, ({up M. de fea^Épâéte a
composé-son' genre' chétodiptère, do-pt la définition!'est à
peu près là même quer Celle’ de n,Cfs éphippus, mais dont
no^^ây-Ôjas':pas vbüïu éonâéever ïePnqrm trop mal composé;
il aurait^u,_d’^rès\eeite.définition même, v plefcev
aussj Ie jfooéf>ïproù, ïe -e P¥WÎdt%s ; e.t ü
serait difficile de deviner pourquoi. 4 . ne (a^pas, fait, si
l’cm' ne gavait qu’il .sien est presque toujours, rapporté 4
Gmelin ou à Blodb ; et que le 'choetodon Plumieri est le
SëüTSîiflOTFiêar^MSF duquel 'cél àûteurs aient fait entrer
lëxprësSiBfi dé deux dof§alë^ ;{dof'so bipinnaiof