4-7.4 s*Qo&Msÿt^R#]y|ps* •
Plusieurs des apophyses épinetises de ce platax ont dans
lèur mHiéti. dfes rCïîfleinfeïïs' globuleux ^.étfcé sont' Cé^ ês-
jJêiM fd’ex‘( ^ ^ i y iqüi'îOTlt d été rmin é' adonner q.
ce pbisson l epitliète d’arthritîqueQu de goiitteiâc. Il l’avait
(ÆsetveA^BentooLen, clans f |lfe de S üm ^ a t où'les inaP
gènes le connaissent sous le nom malais (^ihan-bonna.
Il y .Jfextrg^njdl ,0 oa^g dp-depx p ie ^ je t. plpâ,,^4
chair est blanche, ferme et d e ,très-bon fait
remarquer que les tumeurs de ses os sont remplies d’huile,
et se laissent entamer avec un, canif j-f ce* que nous avons
aussi vërifiél^
H a vingt-trois veftèlpes , dputjlix ahdoininal&ic sjpj|ôtes jqnt
.comprimées et élargies dans leur milieu^ ses prémices apophyses
épineuses iniférieureîTse touchent par leur dîlatation. SêS.’iniestins
sont trèsdongs, et il y a dans son oesophage des papilles compara-
Lies à celles de" là tortue de mer. Sa vessie aérienne est trèSngraBde.
ÏVous" trdOvonS' p4rmi le4 '(ïé ^ n si#èb^OT^s d e JavarpfM
MM. Kuhl etlÇan Hasselt, celui d’u n platax eîidbreûârent
semblable pour le contour à celui de M. Bell, et queifces
vôyageurs considérMënt aussi comme de'da meme’.espèce,
’mais qui est énlurtiiné d’un brunâtre pâle, varié de grandes marbrures
Ues-la’rffes <fun brun chocolat pïûs ou moins fiftefe’^on
iris est AUrore/bordé dé noirâtre. Sa longueur est dé'onzeipQuee&
et sa hauteur de neuf.
L e P latax orbjcü laire.
(Platax orbicularis, nob.; Gfftetodtm orbicularis, Forsk; )
Le chcetodon. orbicularis, de Forskal ressemble beaucoup
jj ^ àmlatax nqdnlenx} ..
mais il n’a d# renflemens ni à la tête ni aux interépineux. Forskal
;CHAP. VI. PLATAX. 1 7 5
le décrit de forme à peu près rnndejft.afîis épines; mais, il ^explique
■ cette dernière expressiqjp en.disaïtt 4 uê la dorsale et l’anale ontdtîs
rudimens d ’épines sous la peau:* 'S.es, nombres de rayons sont indi-
. qués
B. e&p. 3/38 ;l A: <|&g, etc..
Dû reste/toute sa description s’accorde ,*et H décüt jusqu’à^îa
division *des!,dents dû ran gr éxtèrne enlroil; pointes. Êa ‘cdmedf,est
un j^risébriin tirant ‘aù Mane vers le ‘ventre, eïf au1 jadnatée'su! lé
' derrière, Aveej desrpoints'noirâtref-fsurples fiancé,"surtout'ydjffêôté
du dos et de la. quèue. ^fee^'n^fiébires ‘'paires, tirent an qanp.âtre.'’ .
-y» Ce ..poisson esiyofl:g,,diiH&i;P^fciHi
Il ibiprênd abondamment parmi M^tÉophe^dw.ënvî^
rbïas :dc L)fid4 a. De loin il a l’apparènc^tl’un 'plèurdHedlê?
Les Arabes le nomment dakar quand il est petit, et kdnaf
quand il és.t grand.
'Nous venons de recevoir, de m. Bunnèbun p.oisgpnjde
la 'mer Rouge, qüi pourrait bien rentrer-aarts T espèce de
Forskal.
sa forme est aussi presque orbicuïaire „ sauf une Iégèré'conca-
Vite au chanfrein et la division desTnl^oîres ver ti Sues? Puanteur
, à ïà*bâ§è ântérîeure dë laaorÉfte est une fois et deiÈie dans’lâ longueur
totale. Sa tetè prend, lé quart |[e»cëtte' longueur.,; et est une
fois et trois, quarts aussi haute que longue. SA dofsale est arFohdie;
. son- anale un peu anguleuse; sa caudale coupée carrément 11 a à sa
dorsale trois épines entièrement cachées SOÙS la peau, en que J’n™
ne peut apercevoir qu’au moyen(de la direction :,elj£s;.§qnt suivies
... de trente-deux rayopspuous ; ranale.|iïanssi,gois épin^,|^hé^s et
vingt-cinq rayons mous. Ses ventrales, d’un, peu moins du quart de
la longueur totale, atteignent lanqs sans le'dépasser?heur épine
prend moitié de léut longueur. SéS peçiorafe en âëmi/oyale n’ont
que le sixième ae- la lon^eü’r totffe? oès aems'dû^mg exterreur
ont aussi- trois pointes, mais moins 'distinctes' î|ue'' dàlns lès espèces
à dorsale pointue.