' ,1a mâchoire; inférieure. La dox^le .et là f ca^alê î sont- d’ûn noir
' l Les_ pectorales .ont® quantité dfes petites' taches -transpâ-
;iîrÇQte^enlreJes rayqns'-Il y en a, mais beaucoup moins marquée^,
surjranjdè. Les vëhtreàèsVônif grises.- •
Sa longueur est de neuf .p duces.
Zi^Oï'HÎcifPHALE ’mAk^LE.
JL Ofihicephalus marulius. Buchan., p. 65,, et p.W,i n , fig. xg )
M. Buchanan )S*ohservévce Beau poissCflÉS^ICtes, lès^âng#
,efe lussbmèTes'ià'eiiéutèé-ksipartïés de ldnd^stany eLrnême
dans lés endroit^'où la'nîapéei arnv^fau®È'.jaiuais dans la
me? -même, ni dans les étangsrd’eauj salée. Qù de
trois pieds/dae,longueur. Il règne à son sujet danâcS-?Bas-
Bfengale ; une superstition singulière,fn.Iies hindous dévots
croient que «userait s’exposer à quelque malheur de~dwè-
s’il est bon OuVil est mauvais, et cependant en définitive
on lç trouve moins bon que \ts s&la.
M. Béïenger nous a .envpyeeü-; 1 8 a&s eçtpoisson-dùdlèn-
gaje*, et nous a mis à même d’en rectifier et d’enx.onfpïeter
là f
. i pdi $$$. eft. un peu plus étroite que ,dans fàusieurs autrtesf Ses
dents sont en velours partout, et il y eu a cinq o u p e u
plus folles de chàquë côte dg.1^. mâphoire* iufénéùrej la^plaque de
, celles qui adhèrent au Vompr est en triangle'équilatéral. Il a cinq
rayons^, aux ouïes , quoique M. Buchanan ne lui en donne que
quatre, i Nous lui cdmptons:
D. 56; A. 365
et M. Buchanah séinêinçBt : "
rD;àe52à54 ; A. SI à Ê5.
Notre individu est loiig d’dn pied.
Selon M.’Buchanan, l’adulte frâis est verdâtre, et à quelques
bandes obliques irrégulières en travers du ddè, qui se teriùinent sdus
la ligne latérale par def»grandes ^iâchà. .irrégulières noirâtres. Le
dessous .djhylprps est blaft châtre. Des pointgsblâncs sont semés sur
les flancs et amples nageoires A la,,racine de celle de la
queue et) près de s o n .hôrd sup&rfgnr..est une tache* ronde et noire,
, ^entourée.d’un
N otr e - individu,( dans la liqueur, jfrépomd' encore assez à cette
description ; ies bapdes du dos y soné fort, effacées ; les taches du
dessous de la ligne latérale y sont au' contraire très-prononcées^
r nôiïïâtiieS j ^oeËncées'tdp . bleuâtre,? et bdïdsées: en-Arrière de blanc.
8 L’océllealqla-cdudàleiesb parfaitement rond),' son ■ èercle blanc bien
ainsi que- les .points-blancs,semés sur les?nageoires verd-
•* j'éales, mais que nous met voyons pas sur’.les flancs."
- Dans le jeune les<conléürs'sonhaSsez*différentes : un’ruban’Orangé
-/régné depuisToeilqusqu’fàtiâ queue;ffârallèlement aü dos , ét il n ’y a
pas de .points Blâbes; mais fr tâche oeillée de la/,qteuet existe déjà;
seulement le cerclé qui l’entoure est-dé.-couleur orangée. La dfersale
a quelques lignes pâles „ descendant obliquement .en arrière,
' jL’OpHipÉPHA^feloeiLLÉ.
' ' '( OphîCephalus o d e lla tu snoB^ Bostrichaïclè céillé, Lacép.)
Si l’on pouvait s’en rapporter ènliènèment à l’exactitude
des peintres a chinois’, ,1e bosjtrichoïde, oeitlé de M.We Xia-
cëpède>(t. I I , pl. 14, fig, 3,.et L H I, p. ^4,4 e^ j
que biep certainement un ophicéphale, ne serait pas tout-
à^fait l^ïnêm'e què cë tààrulius.
Son ocellé est sur la ftn'dè là queue'èt riôri pas sur la caudale;
son corps est verdâtre, avec dés bandés plus foncées,' mats’ à peine
sensibles, et tout semé de-petits points, 3Bn vert-clair brillant.1 Der-
rière l’oeil sont deux lignes noirâtres qui se, rendent ad’opercule,
. L On doit\espj|rersque quelque qnvqi de/la Chine, ou des
ççjntrées environnantes apprendra un, jour plus posji-t.iye-
mgntlci. qüie; l’on, doit.'penâerode èettpj figure^, .comme cela
nous est si heureusement arrivé pour-l’espèce qui va suivre.