2 9 2 LIVRE V I I I .. P H A R Y V J3ÏEJLS L ABYR î NTHï F 0 RM E<S.
ft Ce poissondemeurfe pétition n’en ,voit,guère qui aillent à quatre
DarïsTétatisge ou dans la fit^uur il paràîfcd’unvteun-doré olfir,
aI avec* une > taché ronde, et'^noire au müièu du flanc soüs. ia pectorale,
et qpe autre dé chaquecôté dé la basè delà {caudale. iLa caudale
et une partie de la dorsale ont des points -Bruns entre leurs
è ora^lomsu < ;
. L’àppareii.labyrinthiforme du trichopode est plus, simple que
î Celui de 1* bsphrômène, ét n’â de chaque côté ;que trois lames principales.
Son estomac, embrassé entre les lobes de son foie., est en
i forme de sac obtus ; sil n’y a qu’un bu deux cæcums longs et grêles
au pylore. Le canal intestinal est mince et plusieurs fois roulé sur
lui-înênieen spiralÇi'GQmme dans la plupart des .y(ji®;S,;
Bloch rapporté assez légèrement a ce poisson le pangay
ou kapirat de Renard (t. I^pl. ><5, fig. QoV^otnle ikan-
maraie de Yalehtyn (t. III, ps 5o€i> n .lS ia ), et a^ae.son
érndi^B accat®nLéejil^ftU§ dit que ce dernier nom ,-«st
japori^, et ennènclut que nôtre trichopode est originaire
de la mer du Japon. Tout cela est ima^naiRè^lis iudi^iidus
de cette espècef, répandus ’dahs divers1 cabine tsy viennent
de Java et des Molucpiés ? et il n’est nullement c’ertâïn que
ce soit un poisson de mer. Dans aucun cas’cé’ne peut être
le kapirat, qni napoint de caudale distincte, etrjue plusieurs
naturalistes, .ont pris pour un ,notoptère, malgré ses
Hlngnes ventrales.