on en compte vingt-deux chaque branche; tandis que le barracuda
d’Amérique n’a que quinze ou seize1. La pointe de ftïinâ-
choirè: inférieure est beaucoup plus obtuse et rdbms avarîcée dans
cette-aioute&è èspèéfe# et . les maxillaire si porte «aoins en arrière^
Bi iP ifi'l
Les ctnileiirs süf le poisson eiièoÈefràxs'sbnf maixpieef parju. Bus-
sumier comme bleu noirâtre1 * sur le sommet de la tête et sur lie dos-}
5et argente snr le centre.; Bês défais «dorsales, l’anale et fe «âudfale
sont noires; les pectorales jaunâtres} les ventrales blançhes. L’oeil
•«a-noir, entouré d’un eérw argenté.
L’individu,, long d e trois pieds trois portées, aëté pris à
la ligne dans les mers de l’In d e , entré,’ lès' Maldives et la
céte orientale d’Afrique, par 8° de latitudé nord, ët par 60'4
de longitude â l’est du méridien de Pâtis. |
M. Dussumîer a trouvé la chair de .ce poisson excellénte,
légère^ët divisée piarcdueïies. Ce naturaliste crôit que-t’est
là mèriaea^é^doirt bn''Êdt^iiè!'^^ne^ÈVe. dans l à ÿ ®
Boligé^èù on la sale, poptïà1 q>ôft% r & lT^lh-di^rànéë' et
a Bourbony où élié'isert ’à“ la nqurrituré deà Npirs. :
Page 261 . Addition à l’arfacle-de la sphjtêne deWorsier- ■
Nous avons reconnu cette sphyrène parmi les poissons
de la NouveUe-Cuinée rapportés par MM. Quoy et Gaimard.
Elle est réellement différente des autres espèces que nôus
mentipnnpias dftps lïjMstGiçerdç, ce ggru’e?, j
Sa dorsale et sesi ventrales s®n* avancées, comme dans \e.jeUç9
au-devant de la ©ointe des pectorales. .L’oeil est très-grand.
i . Nous profiterons de cette observation pour faire remarquer à nos lecteurs
qne le dessinateur :a représenté sur la figure du barracuda les dents trop rapprochées
et en nombre trop considérable^
Il s’en trouve une /desepqttiondaBS Ips mannscïits de
Sdlandeiv
Les fcouleiir^ ‘ÿvsont ainsi indiquées : le clos c’endre, le ventre
blanc,' les dorsales jaunfhies, l’anale bleuâtre,Aa cauaaïe^gnse, les
.. ventrales blanches,
[ .Les naturels d’Olaïti :nommènt ce poisson thia-ta&.
Page 2 6 â. Corrections et additions au chapitre XXXII. •
Lorsque nous avons'rédigé l’histôiEe des parûdepisMons
ne'possédions qu’un seul individu en asse« mauvais- »état,
qui nous’avait été envdÿé sous lé nom é e paretlepis koré-
g o n o ïd e ,m a is qui, d’a’prës le nombre cfës rayons de son
anale, répond plutôt aù sphÿrènoYdé de M. Bisso.* On doit
marquer comme il suit le nombre de sps rayop^ :
B. Ij D. B ill *9b4fttf»
Ainsi nous prions le lecteur de faire cetter correctîon
sur le textë et sur la planche.
Xe pARALEPIS. ÇOfBÉGO.BfOÏDE. g
(Paralep^coregonaides'j Rissn.)
Nous avo^s^qiarleMuaintenanJ; du véritable paralepis
corégonQïde de BI. AUfiso ,,d.ont nous dtvQjàs plusieurs
échantillons en bon état aux- ret^èr^es faites à Ifisé par
M. Laurillard.
.j |Get,tejespèçe ade corps alongé^qiajfeji’^rftj d3118
s;4a même .proportion, L’oeil ,est„placé de même; l'intervalle
entre1 les yeux est un peu plus îafge. Les dents de l’intermaxillaire
sont fines "itj tontes aussi‘petites que, celles, du spKyrénoïde niais
les autres délits différent âêhsiîiïemèMcëllés de là mâchoir|Sifé-
iaeure sont très-petites et égales entre elles : il n’y oinpàsF d’alongées