4 7 2 LIVRE Y11.' SQtrAMMIPDKNES.
petits et plus nombreux , et dont le corps n’ai de. Hauteur, que les
trois quarts de sa longueur , la èaudale comprise. ;Sa=dorsale et son
anale ont de longues pointes, que les ventrales dépassent encore.
Les ventrales surpassent mêqae la longueur totale du corps.
D. 5/35 ; A. ,3/28, etc.
Ces individus n’ont qu’un pouce de longueur.
L e P latax o c el lé.
{^Platax oceUatus | nob.)
Le Cabinet de la Société zoologique de Londifés possède
un platax remarquable
par une tâche ronde et* noire que portera dorsale. Sa bapdp oculaire
est d’un cendré, .foncé ou d’un bleuâtre liséré de brun. On lui
" voit de plus trois bandes verticales brunâtres peu apparentes, une
passant ëbr l’puïe, une partanr du devant de la dorsale et une,de
‘SOU; milieu : c’est sur célfeici qu’est
queue un anneau brun,liséré de'blanc.
2È 6/30; A, 3/20; etc. V f
La taille de l’individu n’est que de quelques pouces.
Le Platax noduleux,
{Platax arthriticus, nob.; Çhcetodon aHkrtttciis, Bell.)
Les platax qui vont suivre sont dune formé plus orbi-
culaire que les précédens, attendu que le b ord antérieur
de leur dorsale fuit plus rapidement en arrière, et que
cette nageoire n’y est pas pointue^, mais arrondie. Celui
qui' fait îobyet decet article, et que nous devons à’St. Lés-
cfoenaiilt, a d’ailleurs cela'de remarquable ’
que ses aiguillons sont entièrement cachés dans le bord antérieur,
sans même laisser voir leur pointe au dehors. Cette dorsale a trente
.#.'6ÜAPv VI* PLATAX;........... '175:
8 et un | rayons mous/dont les premiers*ne s’élèvent pas en'p’ointe
au-dessus d.e ceux qui les suivent immédiatement. L'aile: laisse un.
, peu mieux v.ôin ses faiguilhyps y mais elle-est^ également, arrondie ou
en dèmi-ovaie,|t l’on y nomme vingWois rayons mous. Les ven-
J! traies n’attieignent’pal méfiemsqu’à la basé.de l’anale. Les pectorales
sontTençorp d’un tiers plusfb^rt£s,/La caudale èst/coupee
càrrétneni'
i Lïndividu que nous poucês et haut
d’un pied,’est desséché et p'dr^i>ràtiêrÂ^tf,^’du^5bj^;hÂfprnaè..
Nous avons trouv&sous s a. peau une* crête -dû crâne1 très-haute ;
triangulaire, „renflée ej, ,ärr,ppdißsa J9n/h95dii5BÎ?sie,,ur ^tranchante
au posténeuf, et tm premier inter épineux rënffe à s^mpÂ^
fieüre èù iirie grôs^ë inâsse qyâlç haut dPläq^Äe
s’articule la première pëtiïerépipëvdl)|!Sdfe^ ,
11 nopa a' été facile albr% de nous* cVuvainqre/qûp^ia.dus
avtdnà sbusTes yeux 1 &<-choetodon a'rthftitiçus, décrit, par
William Bell dans les Transactions philosophiques dedjRyd
4p, 8),pe que la,figure gravée,jb ., pl. 6 r nqps ayam^pja
rendu .vraisemblable,
Bell donne pne figqre „Gomplèj^ du squelette.,
On-y, voit, quelle premier inter épineux^: l?anale es$ .aussji.refflé
à sa partie qui porte l’épine,,et que/sa, masse, est plus ârrpnaie.
$j |É| et; ^|lui | de| la, dorsale,} ;éj&giçmt*$s§fiz ^copyjmpns
dans. ■ les ï cabinets ; de ils
avaient été rapportée |)ai‘Jdésvoy£fgetirfe<^ni avaient mangé
de Cës poissons £tui Indes; mais ’âV’â’nt IVf/ Bol tfif igiMfiit
à quelle espèce ils appartenaient Onsàii?aujoupd’Hiîr‘qu’il
y enJa. de semblables *• apasi que desi frètes,, du crâne Renflée^
, daiïs plusieurs squammipenhefs, notamment 'dans
nôtre ephippus gigàs. C%st* même ci qu’^partïeiit
l’inteBépioeux eo-smassne- qub f om trouvewlll plus Gonimn^
nément dans les cabinets, :