;Ge sodaj, ajoute M. Buafcfâumi, est répându dansdes
étangs e t ^rivières- dé toutes les parties de l’Inde que eé
naturaliste a parcourues. Il est évident que i c’est notre va~
riété à nageoires Barrées, Ainsi les pécheurs du Bengale
distingueraient ces ophicephales d ’après la couleur, et non
diaprés; les nombres des rayons.
On. sent que ce n’est pas en Europe que nous pouvons
décider si cès légères différences'tiennent à l’espèce, on s|
elles ne siorit. que.des variété produites par le’ climat j la
nature deseaux et d’autres circonstances accidentelles. Ce
qui est certain, n’est-que dams mos cyprins il est-plusieurs
espèces bien reconnues' pqur telles ; qui ®è|diffèrent .guère
davantage.
Selon les notes transmises à Bloch par le missionnaire
Joknr Ie varal atteint deux pieds de longueur et la grosseur
du bras j il se tient dans la vase des lacs et des étangs, et
ne, se prend point avec des filets, mais avec, des bires
d’osier tordu, en forme de cônes, hauts de deûx pieds,
larges par le bas d’un pied et: dm iî,'ë t né laiæant danidé
haut qu’une- ouverture Jùpasser k b®as. On énfouceroeMe
machine sur divers points, jusqdà ce» qu’on èente qu’ihy
a un poisson de pris.
jL ’O phïc é ph a l e a tête a p la t ie .
, ( Gpfàcephalus ptànicèps, K. é | V, _ II. ) ‘
M 7 a jus<ï ue l’üe de Java up ophicéphale ^xtrê*
mement ressemblant aux précédions, surtout pJT les, dents
latérales d’en bas. Sa: différence la plus sensible consiste
dans une autre disposition dans les rugosités des écailles.
MM. Kubl et Van Hasselt l’ont envoyé au Musée royal
des.Pays-Bas sous le nom à’ophicephalus planiçeps, et
nous l’avons re^orinûJàii'Gà‘bmèt du Boi, dans mb individu
de la mer des Indes, que Idn eoufondâit auparavant avec
le vapal.
• Sa .‘tête esc<un peu plus longue et surtout plus plate en dessus,
d’ailleurs sa forme estpa^eillë^.Ses, dents sont de même en cardes
. a la macjioije supérieure, aux palatins -et au vomer, où quelques-
unes dépassât tin peu Igs autresÿaja mâchoireinférieure elles sôiit
* aussi’en dâfdésén avant,, plus ïiiies et plus égales qu’à la mâchoire
- supérieure', puis dé chaque côte il y en a tr'ois ou quatre fortes en
crochets. La langue èàt‘lisse', libre, et én ovâieï'un jîeu, pointu. De
grandes écailles couvrent la tête et les joues;' celles dupôrps sont
médiocres, à surfacé. très-striée par, des chevrdns qui s’embrassent
parallèlement,, oü par des lignes obliques et convergentes vers la
ligue/moyenne,. w!
j La cotifeur est plombée éh, dessps, blanche en dfessous. Deüx ou
^triais'bandes nuageuses s’étébifent sur le $laric des flancs. La dor-
sale 'est gilsé,; tachetpè obliquement4dé lignés de points noirâtres.
L anale a les mêmes lignes,, et est en outre bordée de noirâtrç. La
cfflaàfé1 eW\rrondié'et grise, âve.c des figues Verticales de points
noirâtres. Les pectorales soné grisesf les ventralès blanches ; les
uù’ès ‘étfw m k w 's a b s ' l ^ n é l ' ‘'tépis groupes
'de petits pbres stir"chaque1 branche de la mâchoire inférieure; et
. trois sur le bord dii preopeFculë. Il y .a ç}e gros, pores sur Jes jolies.
D. 41 j A. 25 i, d 13 Æ .’i4k y,, 1/5. ,
L’individu sec ïdut, Cabinetde Leyde a plus de quinze
pouces*
Nous, fn avons un petit dans la liqueur dont les teintes
sont un peu plus. roussâtres/, et un autre §.ëp qui paraît
teint de jaunâtre.