la ligne latérale simple et sans. arbiisculeè. Gecaractère est -commun
à'cette espèce et au cyclostome : ,mais la brièveté des barbillons
distingue suffisamment le cÿprinoïde. Le. dos paraît avoir été brun _
“ verdâtre , leSiflancs argentés: La première dorsale a du noirâtre à la
pointe ; la secondé est grisâtre; la cajudale d’un beau jaune Jonquille;
les autres nageoires sont plus ou moins jaunes.
D, 8 — l/8j A.1/BT, etc. V;
Ce poisson» long de trois pou ce s, vient de l’I s le -d e -
Fraace-' j
TOME SEPTIÈME.
Page 14 , après l’article du chétodon à huit bandes, ajoutez :
Le Chétodoît a deux b1üdr,ïers.
{Chcctodon dizoster, nob.)
Parmi les beaux dessins de poissons que. J^T J i^ j^ o r e
Délire nous a envpyés^cle TLle-de-FraHee»J]Ly a uneiet^ s -
bèlle espèce de chétodon: de la division à stries verticales.
Le museau est saillant; le corps est élevé â peu près-Comme
dans le chétodon linéolé. La couleur est bleu violet sur l’ppciput
et sur lès deux tiers inférieurs du corps. À partir dé la.pjremière
dOrSalè une large écharpéqaune s’étend sur le dps et sur la queue,
et se prolonge sur la moitié inférieure des rayons mousse l’pnale.
La tête est plus violette que le cotps. LejKMut du museau et 1$ vè|tex
sopt rembrunis. Douze stries verticales violettes traversent le çgrps
entre la pectorale èt Torigiûfe dé la queue. Outre la btqmg itcirg
oculaire qui eçibrasse la tête depuis; l’occiput jusque sous Tjsthme,
, il y a deux larges bandes noires obliqures dp l’avant vei^ l’arrière du
Æ corps , et -qui ne dépassent pas le jaune* l’antérieure occupe l’è§pace
de trois rayons épineux, a compter du second; la dernière, plus
étroite* plus longue, 'terminée en pointe, occupe l’espace compris
entre les quatre dernières épines dé la dorsale. La queue a une ééin-
• Ju re n-oire à la base de la^caûdale. La dorsale molle est or&ngée et
lisérée de,noir; la j^ d a le ,, de la même co^t^ug, a une bandeyer-
ticale, étroite, brune, et une bordure verticale blanche, L ’anale a ,
comme p o u s l’ayonp dit, une bande jaune ; le^ resm de,cette, nageoire
est orangé, bbrdé d’un double liséré, dbnt l’interne ou le
supérieur est rimé* l ’autre est bleu, et eja|m. uné bordiire jaune. Les
pectorales et lès vëntràles sOnt violacés.
* Le dessin représente un poisson ioffg de six pouces et demi, et
haut de quatre et demi.
Page fia , ligne 1 1 , au lieu de ï héaiocbus, mettez : zanclus.
‘ Page 83,.ligue 16 , même changement. •
Page 84, après l’Jrtide du tranchoir cornu, ajoutez |ÿ g
Le Trànehoir a m o u s ta c h e é p in e u s e .
al > M É
Pendant que nous livrions à l’impression notre histoire
des sq^nammipennes, M. Dussumier nous rapportait ses pré-
cie us es c olle c t ions, et assez àitenips pogr quenous-ayons
pu faire connaître 1-es espèces fort intéressantes de casta-
gnolès qu’il a découvertes dans liÉtomac d’un germon
des mers de l’Inde. Ce. Soin, que l’on ne saurait Itrop re-
comm ander ; aux voyageurs, d’ou-yrir Estomac des poissons
pélagiques et de recueillir ce qu’ih|p<antieut,, lui a fait
découvrir un petit poisson d’un nouveau genre, le rliyïi-
ckicbte, déôéîPdaniS eé supplément, et une espèce fort
? cütîiusè de. tranchoir.
Le trancËoir cornu, d’après lequel nH^ï^avons établi
ce genre, est fort' répandu dans lés mérs dé l’Inde et très-
eèmmun dans les collections» L’espèce-que nous ajoaitèns