OPHICÉPHALES. 517
diaire (45). Aussi soàoyoj^mfous. devoir, le rapporter aux
opbioép-hales.duiptrésent article, MeiÜq^Ovfes dents soient
mal rendues- dans y ee®üfe*figuTe: b
■* .(3’est au^e^ntraire d;aprèsilés dents que n ® us; ,y >rapportons
le mùttàh dfe.RussèltfpltJ^Ga)!, quoique.cette figure
ne marque pas les lignes de la dorsale etr<de>.Tanale^lIe
lukdonne quarante-cinq rayons -dorsaux.
« M; Russel est du même avis qti!es nous, sur l’identité dé
son muttàh avec le. nàdrcvl de Bloch • ment» M: Buchanan
crpit retrouver ce y oral dans le solair dontnous parlerons
bientôt d’après lui. En conséquence il ^produit le muttàh
comme une espèce* nouvelle, qu’il nomme ophicephalus
chena, d’après. le nom qu’jelie porte au Bengale.. Le caractère
de/cette éspèce/cohâisteraitj-rsôïon lui, dans .de? ! brun
verdâtre de I s « f corps, sans taches ni bandes , sur les nageoires;;
c’est, comme on voit'),!notre variété-à nageoires
uniformément- brunes.
Ee «mZ ou sola du Bengale, dans.lequel M. Buchanan
(pl, 3a, fig. i 7*,iet p. 6 r).croit plutôt retrouver le varal de
Blochyrque dans le. chena ou muttàh dont nous venons de
pabdor, le sola, disons-nous, cesse mble beaucoup;à ce chena
ou muttàh; leurs tailles, les nombres.de leurs rayons,<sont
pareils, et même M. Buchanan ne les.aurait pas distingués,
si les pécheurs ,de Goyalpara, sur le Bourampouter, ne lui
eussent fait connaître la différence de ces; deux .espèces,
qui sont l’uhè et l’autre très-communes dans leur canton.
Le sola a tout le dessus du corps d’un vert brunâtre, varié de
bandes opliques et irré'gufièrës noires; les flancs au-déss'ôiis’ dë là
ligne-latérale ont dés bandes brimes et • jaunes, et le dessous -esit
blanc. La partie postérieure de la dorsale et de l’anale est jaunâtre,
avec plusieurs petites taches noires entre les rayons. .