n ifotré sujet est long de sept pÔncés| ijtéiis sllon YalentynTèlpèGe
atteint la longueur d’un pied et plus;
Sa chair, au rapport du mêrtie auteur, est M ^ncli|f ferme
et dun goût très-agréable. Ruysch et Renard assûxçnt què
les deux sexes ne s’abandonnent pas, et que si lu n e^pdg,,
l’autre suit le pécheur, et se Jette même dans les filets ou
sur le rivage. Ce serait une habitude bien singulière• dans
la classe.des poissons-, mais il ne s’agit probablement que
dte quelque lait individuel, et observé à l’époque du frai.
DES PO M ACANTHES, ;
On a pu remarquer que les holacanlfies dont nj^us a.yqns
parlé jusqu’ici, ont la forme plus ou moins approchante
de l’ovale, et que les épines de leuridorsale, peu ^égales
entre elles, et générj^ment au nombj:^ de jtreize p u ^ q a r
torze, né descendent pas au-a^sjou^de douze, ,
L’Amérique en produit.d’autres, qui n’ont que neuf pu
dix 'épines- dorsales, lesquelles grandissent de la première à
la dixième, et font monter le bord antérieur de la nageoire
plus rapidement : leurs denté extérieures ont toujours ces
pointes plus pétitès aux côtés de leur pointe principale ,
que nous n’avqns remarquées que. dans un 'petft ^ nombre
des précédens, e tleu rs sous-orbitaire et préopercule qnt
constamment le bord entier .et sans dentelure^ en général,
ils ont le cocps plus haut que les autres, et une apparence
au total un peu différente, surtout en ce que les longues
pointes de leur dorsale et de leur anale sont placées plus
en ayant, et se détachent mieux que d&^èglles des éspéqès
précédentes où ces nageoires sont ainsi aiguisées. G est à
ces p oissons que Man pûuwaafc' réserver le nom de pbma-
cànthe, qui avaijfété(dqpné par M. de Laeépède à tous .les
chétôdqns slk preopercule ann^vïun aiguillon le
bord de ne lui jpâpaîssâlt pa? ayoirt’de
dentejjam
u^es Anglak-dps Antilles, lès d&j^aissent en général sous
les noms de fiatsfish et diindian-Jishy et no<s colons français
soiaf celui dé pajriugaü; qu’ils donnent aussi 4 ;.quelqqes
holàéanthes.
> Les Espagnols d ’Amérique, et surtout de la Havane, les
ifommemt chirivita ou chivirità.
*Le PoMÀCASfTiïiî noaiè.
- (jGhoeioâon aureus, »]'., pl. 19 5 , fig. i.ffo-
Le premier de -çps çhirivj.ta, que JParra a bien .représenté
(pL 6,.%. a),.
aie corps entier coloré d’un jaune plus ou moins doré ou plus ou
moins grisâta^, selon-les individus, avec des taches fcranâteçs iou
noirâtres sur' chacune de ses écailles, mais très-ihégiîfes en grand eur
et en intensité; en sorte que le poisson,,semble irrégulièrement
Nous en ayons reçu de beaux échantillons, pris àïSawÇr
Thomas par M. Fiée, et,à ^iut-Domingue par M. R i^ o ^
Comparé avec Fholacanthèeiliaire, sa .forme est-plus élevée, èt
Son profil plus vertical. Sa hauteur n’est qùèdfeuxfl&§ dan» sa longueur
totale. Sa tête est de plus d’un tiers plus haute que longue. Il
' n’y; a aùcjjnef. appapençe 4e dentelure aux pièces. ppe¥culaires dé la
femelle, et c’est à peine si l’on ien voit quelqu6S^yésûg& dâiis le mMe.
L’épine dupréopereule est plate' tranchante et'plus-c^te dan§i le|
deüx sexes que celle àxi ciUaire. La mâchoire iafliieOrè avancé ;seni
siblement plus que l’autre; Les dents du rang extérieur asnt deux