Le Centrarchus a quatre épines,;.
^'^Ûefitt'itrchus1 tekravanthuS3 néb. ) ;
Nous croyons pouvoir rapprOTher a es centrarchus <un
poisson qui ne nous est connu que par le dessin fait à- la
Havane par M. Poey.
La terme du'%t/rps,laT p^gitigjg 9e la. dorsale sontreprésentées
com r^ ^ a n s Je ceilrarciiüs brbipl. '%épfrébjaèrçhîe ïfà pas de den-
, telures. Les itombres des ray bnsÆomjrtés par M.Pbéy sont :1
ü *j*i * 1% P. m m m > ■
Le côrps est obscurci par des taches I toiràWfesplus granâës “vërs
la jé$é> et réduite^ yeps là queue à de simples points noirs, placés
dans l’angle des écailles^ Les na^pqijP^mpaire§j^^t npirâtfes et
tachetées d1 obscur, lespectorales jaunâtres, lès yéntmés blanc^taes.
Ce poisson^ abondant dans les eaux douces dre Cuba,
se mange. Il atteint huit pondes de longueur.! # nT y nomme
b ia ja c a . Nous ne voyons point que Parra en -ait parle dans
son Histoire des poissons ile^a Havane..«;
DES BRYTTES ( B r y t t u s ,a -(np^./k.,
Il est impossible de irpiiVër plus''^ressemblance qu’il
n’y en a entre ces> poissons et-les pbmôti’s. Jja petite bande
étréke de dents en velours ras qui existe le long du bord
externe de chaque palatiU/iest le seul caractère quides
distingué. vr;î'~i | Hj|H : H H y
No u s e n :avons trois espèces, peu différentes l’une -de
l’autre.
Le Brytbe, ^pointillé. f ,
punctatus, nob.)
L’une d^lës ÊiM &cilé’j^^cbnnàîtré par léS':p^ifl|^%oîàM'u© sfi.
joue.et? deài dotés'*dét'êon ventr^’Sqn 'cè'ritodr vertical est en âv3&
régulier, pointu vers-dé museàu, et arrondi dui côté delà queue,
laquelle fait saillie bore Üÿ Pt^àfé’-^bè di&lètre perpendiculaire est
contenu deux foïsaeJgnsrla, lig u e u r . du corps ~ la camlale non
comprise. L’épaisseur est a peu près le tiers de Ta hauteur; La longueur
Wsi la tête fart le * tiers •* dë-! feéîlé] du ^^rps>^ï#4S^ldlfe'-exèéptée.
Le' profil-dû front est conca’v;^en,,'iay‘aSt de l’ocçïput, qui remonte
par une cqujrbç. régulière jusqu’à .pi:; dorsale. L’oeil est .arrondi, le
sous-orbitaire çtïjoit, edw^r^ e t ^ i^ p ép é c i en arrière. Le.-hbrd
,• dix pq$flgfiEcpl3.fe8t tji^4j3lnt l^sse. L’angle gèljopércuje est ^pcmSi :
son,lyxrd membraneux e£t étroit et,ne se prolonge pas comme dans
l(ÿ pomqûs). Jjçs dents de la première.r^ngée sont en petits çrpebpts.
‘ '■La dorsaley^ peu„de , hauteur. L’apale. est .un peu. plus;.haute.
L’arrière de ,ees nageoires, .ainsi que l’estrémité des lobési de la
caudale échancrée, sont arrondis. Le premier .rayon mou de la
ventrale se prolonge ehipn petit filét r>
D. 10/11 ;À. 3/^Cf ^
Les écailles sont ae grandêur médiocre, : il y en a environ trente-
cinq entre l’ouïe et la caudale. Chaque éeààlle a/ le bord lisse, la
partie visible finement pointillée*. la portion rçcouyerte strieef^ar
neuf rayons -'en éventail, dontTextrémite arrondie forme des den-
telubes le long du bord, radical. La ligne latérale suit.une' courbe
parallèle au dbs, et elle est tràdè'e' un pèu àu-dessüs du tiers dé la
hauteülr dû corps. '
La coufeur paraît avoir été «fi ibrùli yferdàtre à refletA mllki,:
avec des rangées parallèles de pomt^ p.pirs;très-ronds, qui paraissent
d’autant plus qu’ils sont plus près-du ventre : il y en a ausri sur
l'opercule et stfiïe sbfis-bpefcîiî^. L’itigfe ëfë BépërbtiM i finè^cache
bleu rxOTrâtrev qui descend le loixg' da bord* inférietfr deTîët Os. Lfe
bord membraneux ésh moins coloré que l’os lui-même. La dorsale,