Le dos est noirâtre ; le v^u-a argepté,: le çeijtr.e^des éçai^es^est
Bleuâtre, ce qui forme des lignes longitudinales, plus claires sur
le noirâtre du dos ondes flapps. ÜÊi Mgepires sont Brunes ,^oin-
tillées. de noirâtre. L’extrémité dçs lobes de la caudale est noire.
. Gç poisSOn, pris dans l^ u douce, est long de sept pouces.
Le D O U LES- M ALO.*
v | ( Dûtes malo, iiob,) |É
Il existe encorërüne espèce de. d o u le s^ an ^ la’"'petke
rivière de Matavai de file d’Otaïtâ. Les diabitans. la nrim-
metit malos
Elle a' lë^’ebrpà elliptique. Sa hauteur est le tiers delà; longueur,
la dàudahe non'comprise. L'oeil est grand. Son diamètre a plus ape
le tierAue, la longueur de là tête. '
—^lS^pWÿe_&itieuse es^n^pêu plus ddtete que celle de la plu-
In j&ûdes âutrèâ^^dohl^i - ,
B. 6 ; D. 10/llÿ /C
La couleur est argentée, rembrupie sur le ^doSi/La-dorsaio', l’aitale
- efe- fe*-y » t r d i^ ont des tâches 3^unesy sêparées^ar-des liné^es
blanchâtres. L’iris est noir, borde ^%n'éertele'd0ftêf£s%
J^ u sn e x o n n a isso n s tmepre cette 'esp|g]^,.qjJ.e#pai\ ^jyn
dessin fait d’après. natpje à Qtaïti.par jM. t e sson. ,
Iiindwidpj^aitfepLpppiCe^ è^Æpii de lgEl§? «
PagP^ 7.. ^.ïtioni. à l'arricle du thérapoii jerbojfc.. ^
M. Dassiimier a pris aux Sëèbelles le tbérâpbô^jèiRbli,
qui,y devient tris-grand: ses individus ont dix >poà%s.
Les dentelures du so.iis-orbitaire ÿ sont presque efï'àcées.
On le nomme dans ces îles poisson-ananas.
Le même voyageur a pris cette espèce avec le tbérapon
puta, sur la çcjte. ,de Bombay, où elle. est commune.
Page 109, après l’article dù datnia treillissé, ajoutez :
. . Le D a tn ia '1
(Datnia viçgafa, nob.}* *
M. Duèsuinier a pris en grand nombre, dans le golfe
du Bengale, 'un" petit* datnia, qui", n a pas tout-a-fa.it trois
poiiçes' de longueur. Il ressemble, à s’y méprendre, à notre
thérâpon obséu^; niais l’abse’ncè des dents au palais, constatée*
sur plusieurs individus, lève tous les doutes, et"place
cë poisson dans Je- gëiiré des datnia. ;
Les dentelures du pyéqpercule sont très-fortes, comme de petites
épines j celle de l’opercule est très-aigUë. Le sous.-orbitaire est lisse»
La portion épineûsfe de la dorsale est du double^pms longue que
là portion molle. L’anale est courte»
D. 12/12 ; L. \ $ l etc. *
Le corps est brun, assezfôncé, avec un peut-ppiü]thfeulîrë, visible
par reflets sur les écailles du dos et,du ventre. Trois lignes longitudinales.
jaunâtres .éclairent mi peu le fond rembruni des côtes. Le
brun du milieu se prolonge' sur la caudale 1 eù* une'bandje impaire,
et chaquèlobeporte deux antres bandes obliques.- L’intervalle de»
bandes est jaune.
La dorsale épineuse a une longue tache noirâtre;*et la portion
. molle,, finsi -que l’anale , d8£ deux t^shesI brnUiesw ;Dji bleu lapis
çojoye le dessous de lkgîl^le liirhe ; du I*réopercule,. lejSursça-,
pulaire et l’épaule. ,QueIquesr individus ont trois ou quatre, taches
bleuâtres sur le dos, le. long de la base de la dorsale.
. Ifqus rapportons à cetto;^%p^|^toû J^è^in uqui npus .a
été communiqué, par M. Raynaud. Ce yoya.ge.ur avait pris
son poisson-le.-long du bprd,. dans les mêmes,parages oit
M, Dussumier a , trouvé les, siens.
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