IIVRË 484 Vil. ^WMMXPE^ES.
Le PSETTtJS■RHOMB'OÏDÀL. S
(JPséttus rhoTçbéus> üobi.i Sçomber rhornbeus, Fors!.)
L’espèce la plus*hàute après celle de: Seba;, mais qui ne
rest .p^ à beewcoùp ^ è s ;autaUtj fest gradée dans Russel
^nASgqsous le nom de kauki-sanétd'wa, qu’elle.,porte à
^Vizagapatam, et elle nous a été rapportée.de1 ItomdmMÿy
par M. Sonnerat, et de TIsle-de-Frânce par <j\fe- Mathieu.
Il s’en est même troüTé'dû?individu à^’C’ ceux dé' Fespèce
suivante, dàWtéè collèétions de Cômmérsdù', qui jÿâfkît
avoir confondu les deux espèces: '
. Celle-ci a sa hauteur prise entre la naissance de la dorsale et. de
®" l’anale une fois et demie dans la longueur totalfejla
Sur cette hauteur la dorsale s’élève obliquement d’envirdBjun oeart,
et Tanaïë's’abaisse aù-dessoüs à peu près d’un tiers, en pren^Paes
•propOTÛons sur la veidealfe
Les pointes de ees nageoires ne se détachent pas autant jpx&.dans
la première espèce, et le bord est seulement un.peu cqnca^dérçière
elles. Les ventrales, semblent dans le sec. rédijiteÿ Aucune à sa« petite
^ épine j mais les indiyidusçQnservés dans la liqueur montrent, lorsqu’on
soulève les épines, de très-petits rayons mous, avècpineYrës-
courte mémbrane. Bans le tranchant aniérîêurdè la dorsale *ëtx
compte aisément les pointes de huit épines ; celles de l’anâle sdàt
moins longues à proportion que dans l’espèce précédente, sîdes
rayons mous de ees deux nageoires sont moins nombreux. La caudale
y lorsqu’on l’étale, paraît un peu en croissant.
A- 1% P. 17; V. 1/ ?
Les écaiüesidç cette esp.èçe^so-nt beauçoup plus petités f|ue dans
la précédente. v
Sa couleur est un argenté qui vers le dos tourne an plombé, avec
dix noirâtre vers lé sommet de la dorsale. Une ligné noirâtre descend
obliquement de la nuque vers le haut dè l’ôrbité, et une autre de la
Cil AP. VII. PSETTyS,
première épine dorsale ,$ers; le haut def f opercule. La figure de Rus-
. .se^en rentre une .^^isi^mjç £ la qpat/ièm,e épine vers*
.JjMabgle ,de ropermkig 1»
* ’ NoVrè piiïl graricl] individü.''èsif lofigfHe sept'pouces. Ï1 y ep, a dé
bien plus petite.! -
- M. PfeâBLerg^ja^po^deJa p&çr^Qug^ïs individus
qui notparais,sont, diflérer de..celui, <iPjR,Pu^s®î;i% dessine,
que^qç/qu&J’oq gq-è i^ligue qpr^fe^qui
nuque ijceil. ï g S B | às doute^qu^ qe qe s.qit
j^e, sçomber vhqmfyeùsle Forskal, de Jlacépède <a
{ûplo^ceTitropq^erhomboïdal,^ par cqnséquentle genre
de8 éentT«podes,«st;encoxe a-^^è^dë l^i^gylogie.
| ?0 tre 'ron lise eri effet avec attention'la description de
Forskal'.xm y’ trouvera tous le^aracfêffeS',d>ë nos pgettus^
§uleme^if, pla$^U;*|P|ffit de" fa ‘ dorsale ^ 4 j?<ftÉes
épilas à peine \i^s.,(^spin(S^quin(jue} ny,nut(Sj 2\ix connexes}.
Mais * ma-t-il pas pris^popr de pe t,ites.f 4pip.e§ isolées,, r^es I
pointesjdes “premières épines de la dorsale?,- Cela posé,
tasserait'd'accord; on aurait pour nombres. B. 65 D. 8/295
A. 3/3'1, etc.;’ fcfe qui ne ferait’quWé legèré différence ; les |
points noirs de la dorsale et? tic?IgnaleJ là' daudale coupee
en rond, tout semblerait encore indiquer notre espèce!-
1. Vdîéf èifc’i f a ï ^ t i f l l î ' p < ^ 5 8 ÿ
S comber rhombrüs , cortipress^nî, argfnteum,
una cum pinnis damWw*.#.
subtiles. Lingua obtusa, props apiceit) superne càllo ooali, piano, albido , scabrù.
Labia, nafis, opercuïd, ut congerierum'. Irii drgèntea/supra'et irtfra fiifca. Artie
pinnas dorsales spinm quinque% minutes, Juxtapimas ventrales spmae
duoe, alboe, parçae, et pone singulam radii inermes midores, qumqye,vîx/c^icui.
Pinnarum dorsalium 'W à&alim ptèm> phrï dlba , mtigutdris/sqMmatâ, apice
nigra, reliqua pars Humilis, fyalina , linearis. Pinnae pectorales Unter rotundatoe.
Cauda brevis, lateribus compressa, non carinata. Pinna caudalisglaiica, rqtundata,
exserta. Lined lateralis dorsàpropipr parallels, in caudg repa, media, squamae parvee.
B. 6s P.-1/15; D. 4/4, ^82ji.T.'K A.;S/34^p. 16.«