le plu® modeste (te gmftgarmyemprunté g de® fines
étoffes dë coton de rindeij éominé ne poisèon.
Il ést d'une forme un pe;u pjus élevée que la plupart dès egnècesr
dü genre. Sa hauteur n’est pas teut-à-rfàit deux fois dans sa longueur.
Son museau est un peu retroussé. Sa mâchoire inférieure'avance plus
que l’autre. Sa dorsale et son anale se terminent en mgle obtus îyis-
à-vis la base de la caudale, et pp se prolongent pas en pointe. Ses
ventrales m'atteignent pas son anale. Les dentelures du bord ixioxi-
tant du pré opercule sogt peu marquées. On distingué celles du bord
inférieur, au nombre de quatre ou cinq. L’aiguillon de l’ajngle est
très-grand et très-fort. L’angle du sousf orbitaire n’a que trois Ou
quatfè petites dents. Les dents ont une petite dentelure à chaque
côté de la base de leur pointe. Les écailles sont encore plus petites
et plus nombreuses qu’à l’annidaire ;mais striées et ciliées de même
dans toute leur partie visible, ce qui donne à leur ensemble une
. apparence de velours. Elles se-rapetissent par j|pg|rés sur les nageoires
verticales, et se changent sur la tête en une simple granulosité
un peu âpre.
Æ 14/20; % 3/19; C. 11; P.
Tout le corps de ç.erpoisson est. d’unrhleu noirâtrej trente Ou
trente-deux lignes d’un jaune orangée» parcourent l’étendue depuis
le bord de la dprsale, se portent en avant, en deseendàht Un peu,
et se terminent à l’épaule, a la gorge et a la poitrine, quiytaisi que
la tête j sont du bleu noirâtre du fond. Sur l’anale èri en vôit tjfois
ou quatre parallèles aux dernières du corps; mais qui s’effacent Suc*-
cessîvement. Sur la tête se voient deux lignes bleu clair , qm tiaVév-
sent le front, entourent l’oeil, et descendent^rs le bord postérieur
du préopercule. Une autre ligne de, .cette çomeur borde l'opercule,
èl se prolonge au-devant d’une tache très-noire, qui est à la base de
la pectorale. Cette nageoire elle-mêmoest noirâtre. Les ventrales sont
d’un jaune brun; mais la caudale toute ehtièré est d’un beafu jaune vif.
Ce poisson est grand pour son genre; il passe souvent un pied:
et même quinze pouces.
C’est,.ditÿûn, de te©ii.i®>les.«.poissAig <ÿue l’on mange .commun
émentaaux Induis;le plus ■ës^mî’^^n..comparera;,diair
à celle du saurndr^ /
Nffftre d||mption des)S^Suleur|i^est emprantéer d®Gqm-
merson, qui l’p fai tpxsur le fi ais n'ouL laiÆo^ qgfe nju§
exacte/jue 1.e%eplumiqures^da Renard fM, memg.toue x.elle
de Bip ch,., qui met“un fond j^nt^^tpù^e la partie
ttigure aux pectorales ,/tauxi,.ventrale s y.efe au . fiord i f e la
dorsale^et" de l’anale. ’ f
v Quant .aux formel, nous les ay^ns prisés/'&u-r nature; mais
il se pourrait qu’ihy eût pour la dotale une'idiff^rejiee de
&ejtq;5caç dans le dessin, de Vlaming, copié par Reàard^ft. I,
fpj^ i(6, fig.93), la dorsale^pajaîyp eaueouo plus^®intue,,’«,
- T ou t nous fait croire tq u ^ ^ f io la c a n th e 11* le premier
M ien \ que. cet auteur dl^ d t .e a , ces termes :
« Il naît dans la mer Ëry thrye, un p/nssofi pla t comme une
« sole. Ses écailles neysont pas ^très-âpres.. Sa couleur e®t.un
«-^peü d o r é e , et il a de la „tête a la j|peue des;fignes.pqjres,
«r semblables à des cordes, ce qui l’â (a.it nommer çithaçède.
« Sa bo'uche es,t serrée, no ire, entourée d u fr ^ em e ’jaune;
«Te sommet d e .^ ^ t e j f e t v anév ié lignes u o l p lpfe dorées j
«„ses nageoires sont mélangeas.de jaune effde-roux^T^sa
« queue est n o ir e , excepté le b o u t, qui est blanch i y
La nomenclature des anciens serait bien facile-, à retrouver';
s’ils l’eussent toujçurs constatée par des descriptions
aussi exactes;
1. Anim., 1. XI, c. 23.
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