-nâtres, et le long des flancs des-lignes jaunes faiblement marquées,
la .dorsale' avait la moitié' supérieure rouge, • et>ïinférieure blanche,
aVeé-une taeheronge triangulaire à la base/dechaque rayon épineux.
Entre les .trois premiers sur la porflon, rouge ^ il y^avait une large
taché d’un brun-rouge presque noir, et une taché dé même c^u-
• leur, mais beaucoup plus petite, entre lés trois derniers tr%phs.
La portion molle,.- l’anale, et la ventrale, éjaient rouge veïtûÿlon-
: la caudale plus foncée; la-pectorale orangée,^avec une tache noirâtre
daôs l’aisselle Un trait jaune doré traversait, obliquement la jiguede
l’angle supérieur du maxillaire à la hase.de l’épine-du préopqrqule.
Ces belles couleurs ont disparu ,pay l’actiqp. l^qgql et d^ lâ.
lumière.^Le rouge est devenu plusr ou moins noirâtre; le S. raies jaunes
'sbnt presque blanches, ainsi que les membranes^aes nageoires^
*Page 'i 5 8 . Addition à l’àrijelé' de VkoiocertiriM iïtM làïgê. Mj
L’hoiocentrte à téi§ large, dont notts igrîoyionS la patrig,
nous a j^ é J ’kpporté en ,b eaux éc^ntillons de pgr
M. Rayjtgud. „Ces indiyidus, mieux conservas,, $Q;^s permettent
dp rectifier quelques-uns dp nps, caràctèResi.. ;
L’épine du préopercule^tiaussi fort«' que cellfe de Yofiemal, et
souvent: le bord inférieur n’est pas dentelé. çr|n,e est élargi enlre
| loe yeux, et beaucoup plus rugueux. Le-museau est plus cg^t;^
' D’après Un dessin de M. Raynaud^* qmvoh que sur un^ fond argenté
le dos est rayé de quatre Êandes Longitudinales d uff rose vif,
et lé ventre de trois Mandes d’ünhosépale. Les rayons desha’géôires
- soâtt 'fdugès*, et leurs membranes j'aunes. Les'lèvres soiït de celte
dernière couleur, ainsi que le bord, de l’opercule.
Lés Malais de Batavia nomment,’ce poissôn goutfrdra.
Kous avons rêSonhu aussi '‘cette mêtai'é çsplce dans un
très-petit individu rapporté de yanicôld par MM. Qttoy
et Gaimard.
Page 164, après l’article de Y holocentrum chrétien, ajoutez :
£ X'HOLOeEKrRUMiOBEROULAIRE., |
.( Holocentrum operculare , nob.)
MM. Quoy et Gaimard ont rapporté du Hâvre-Carrteret,
de là Nouvelle-Irlande, une® espècéMiouvelle, <aSSéz 'Voisfnë
du satnmer.
Elle lui ressemble par sa formé aïdSgéé, par la petitesse des épines
. dû" préopêt;püfe?et de l’o^^etue , par fa foiilgaeu^^^
épineux de l’âhâïe; rnaisélle eu différé par un sSu^ô rbitaire plus
échancré ët moins deritêlé, et surtout par les couleurs de là dorsale,
qui à tonte* la partie supérieure ûoïne, «bordée de Blanc pur, la
moitié inferieure blanche, ,.êt une tache noirâtre; à, la base antérieure
de chaque épine. Les autres nageoires sont blanches.
i>. ll/f il; P.
. Le corps est bleu d’acier éur-lë.'âôs,' et dalàhe' sCrgenté sur le
ventre, une large, tache brune dorée couvre la plus grande partie
de l’opère ufe. |g
‘ Notre individu a près de huit pouces.
Z /H o ldcEivTRUm ;
(Holocentrum argenteum, nob;) H
Les mêmes naturalistes ont pris-à là Nouy efle-Guinée
ce poisson, qui tient beaucoup du sarryner par les formes*
Il a cependàutLé’sous^oébxtaire jflu& étroit, et l’épine antérieure
de cet os pluS’fthurtel P
Sa couleur était légèrement-verdâtre sur le dos, blanchâtre sur
les côtés, à reflets brillans et argentés. La dorsale est grisé, à bord
blanc de lait, sans aucune tache.
D. 11/13;. A. 4$, ete.
Sa longueur est de cinq pouces.