a représentée* £pl. 2 i •) et- -décrite (pü 68 ) ’s©us le
n oM d’ophicepkalits gachu «, àü moins'sa description -s’en
rappro che-t-e,lle extrêmement;. Çet observateur la caractérise
par enrirbii . trentfe-six-rayons à la dorsale, et par des bandas irrégulières
et obscures en travers du dos. La teinte du dos est d’un
. brun verdâtre; celle du ventre d’un blanc sale. Les nageoires ver-
• tieales sont dhm brun verdâtre, bordées de noir et lisérées de blanc,
ou à l’anale et à la caudale de rougeâtre; suP la pectorale sont plusieurs
lignes de taches bleuâtres.
D. environ 36; A. 22 ; Ç. 12 ; P. 15; V. 5 (Pasteur négligé le premier rayon,
qui en effet est d’une petitesse ckoessrvé);
..M. Buchanan ajopte que ce guchua, arrive quelquefois
à un pied dé longueur , mais que rarement il exçç^etsUn
empan. .11 est très-commun dans les :éiangs,et les fossés du
Bengale, et c’est une des espèces sur lesquelles l’idée qu’fiUes
tombent avec la pluie est le plus répandue parmi le peuple.
En effet, dès les premières; grosses' pluies de la mauvaise
saison, on en voit qui rampent danfe l’herbe ; mâis notre
naturaliste pense que5 cette habitude tient feulement à ce
que, fatigué de l’eau bourbeuse e t corrompue à laquelle
il est réduit à la lin dç la saison sècbe dans les -fosséséwlits
qu’il habite, les premières pluies qui mouillent l’herbe des
environs, l’attirent aussitôt hors-de ces triëtes réceptacles
pour chercher une eau pure, de l’espace et une nourriture
plus fraîche. *
Z /O ph ic é ph a l e corà- mota. .
( Ophîcephalüs cora-triota, nob.)
Ce doit encore être un poisson ^p^^emblable, sinon
le même, que le koru^mqtta de Russel ( t. I I , p. 4 9 )?
Il n’est long que de sis pouces. Son dos est teint d’un pourpre
obscur. Sa? poitrine bJ^4tfea.son abdomen gris sale. La dorsale
g| .çt fanale opt4f(* |£ÉÉ|â& qu© $|gWgMg$yjtdjâcentes.; mais en
^rrières.|fc;4pfisalft prçnd un Qraj^éfe^Mf'; LapeçbOï'àle.est rjmée, en
travers de nolrretde jaune;le? pointeV-des rayonsdelk caudâïesont
marquées d ejaune. Selon le texte l^hé dbdSe'rayons à la
ftectôfcüè; "
Z/’OpHJC^PpALE .BRUN.
( Ophie'èphahiS'füsQtis, ®ofe ) •
M. Duvaucel avait ^nèore récueim au Bengale ânf^bphi-
céphale fort semblable au gachua, a la couleur près, y
et dont la têtè et les joués^ônt s^qEl^^un peu |>fî^remïeés.
Il est ehhèreme^^ùh' Mun ’#fraS^a ro î^ ^ !è*â*trëméiMntf/oû
1 ' ip® lui voit
lignes Ôn
. '«’aperçoit aûcuii liséré à ses nagepipes^'ï
M. Bélenge^r eri;â rapporte’’,du même pàÿs de nomferêht
individus, m. jElussumierien à aussi troiive dans h^Maissôur.
Aucun ne passe six pouces.
2 ƒ / ( ) p l k i ' Ô ÿ ; i > n M
(Op^^epJialuA ^r^%iqais,MJmch.3Ln.)
M. Buchanan' a un ‘ ophicephetlus auraritiücus trouvé
dariè un ruissènti d’eaîi ptiffe p r ë s ^ I rC iÿ ^ a f a ^ e t qaieies
pêcheurs nommaient aussi gcuchua. Il lùi-attribue tr’ente-
quatre rayons dorsaux et nije çohleur uniformément orangée
sur tout lç corps. Il d o itê fre extraordinairement, semblable
à'notre marginatus'de PondichérytEa figure marque
même une taché V ia base ‘ de la 'peCtorak, comme icelle
que noust “avons décrite. -