Le -Gh étoï) ^|ï). ©ei l lé.
( Choetodon ocellatus, Bl.)
Bla$t.rapporte la figqrç dp Seba (t. III, pl. 2 0 ,fig .n )
que nousivenqns-de citer, à son choetodon ocellatus; mais
celni-vci ( pi; a i l , -fig. 2 ) j ; si la figure egt? exacte, j !
; a son ocelle plus grand et posé différemment : il n’èst. pas près du
bord nl^'lâ'ipàrâe' la plus saillante de la nige<Sioe, mais vêts sa
baséet plus près des rayons épineux.. .Pour tout le reste, il est
’ très-vrai quelle poisson de Bîocn ést' fort sémblable au" nôtre:J
^ D ,i2^ î £3/19^0. n'. P ^ . ' y ^
Il l’avait reçu des Indes orientales.
Nous placerons ici des eé^éces distinguées des autres
par Un long fil qù i‘résulte du prolongement d’un ou de
plusieurs,des premiers* rayons mous de leur ‘dorsale. \
Celles qu’on connaît viennent de la mer, des Indes- .,
L e Chètodos’ SÉTOivi #
: % Choetodon s&tifer, Bl., ph 4^6 , fig. mBÉM
Le çhoetodon setifep o u séton de Bloch ressembletelle-
ment au çhtEtodon sebqnus que nous venons ^[e décrire C
que cest une question de savoir s’il n’est pas le male de
l’espèce dont \<^sebanu£gérait la fernelle. et.si le long filet
qui prolonge le cinquième r^ypn mou de sa dorsale n’est
pas une marque de son sere.
Il a te museau pointu et saillant, le profil concave qusqu’au-
1. Pomaeentre filament, Lacépède, t. IV, p. 5o6 et Mit
m
dessus des yflUpE,t,ei»t4|ç. montant droit à la nuque ; la dorsale et
l’anale arrondies; une iai^p'banpe oculaire^çallant verticalement de
1^ gqrg§,à ia niîquej quatre^traits rougp qn.j^.une|r allant d’ün oeil
à l’aiïtregu travers du frontale corps grisâtre pâle, passant au jaune
' OFangé sur les nage dires verticales; cinq stnes d’ün gns plus foncé,
montant ôbliquemèÀV enArrièVea la partie antérieure qèsoncîôs
le r’este de son corps portant dbüze iàù treize dé stries, la plupart
assez larges , et moïntant obliquement en-'avant jusqu’à eèqu’elles
rencontrent la cinquième des précédentes; un ocêlle noirj bordé de
blanc près du bord de ,sa dorsale» depuis le cinquième ! jusqu’au
dixi&ng, rayqn; tjp fin B^érq noir à la;dorsale et à l’jpale, une bande
jaune, suivie d’jiitè.double ligne noirâtre près dubord de sa caudale,
qui est transparente. Le filetée sà dorsale, qui égalé quelquefois bl
moitié de la longueur, de son corps, est de douleur jaune.
Ik 13/24j A / p f î J . ’l i ; P .ifc V.’l/jL ,,
Ija longueur dé Ke&pècc va à six o%sèpt poittcé^
Ce Beau ehétod-oti habite tdtitës’-les parties chaudes de
la mer des Indes e t^ e l’océan Pacifique.
Renard et Valentyù le Comptent parmi les poissons des
Moluques, et en ont déjà do mi e des figures reconnaissables*.
Le premier leuonnme douyving-duc** leyseceind
simplement poisson-douvving^Çommevson l’avait pariai-*
tentent fait dessiner à l’Isle-de-France sous le nom de
p o rte -q u eu e , ex en avait laissé une d^çfipdon très-détaillée;
mais M. de Lacépède n’a point fait graver'!^figure, et
a. simplement rapporté la phrase caractéristique de cet observateur
au choetodon aurigajde Forskal, qui nen diffère
guère, en effet, que par l’absence dune tacite a ia dorsale.
Bloch, ayant reçu un bel individu de cëtte espèce de
1. RtnàrcT, impart", fèl.'Sg, fig. 19S; i . ' p aît., pl. S i, fig. 145.
2. Valentÿn,ïil lîfS, •