l’anale et la caudale sont verdâtres, avec une ^ordure blanchâtre, Les
ventrales ont la base verdâtre, et lé reste p’rèsque noir. >
Ifes différens individus ne dépassent pas »cinq pouces et demi
Gette espèce pourrait bieu Spe Xiçhtelis macrovhira
de M. Raliiiesque;1
Le BrV|TE MAILLÉ, 1
. b(Bryttus reticulatus, noK)':';..
Une seconde espèce, que nous devons au docteur Ra_
venel j |
: a les dents beaucoup plus fortes, la^a^oe'de l’opercule beaucoup
plus grande et plus étendue sur cet o^fLe co.rps est d'un vèrt-cl'air
jaunâtre, et chaque écaille a la hase delà partie visible n.oirâ.tre* ou
; vert très-foncé,, ce qui fait paraître le ebrps couvert d'un j^seau
dont on ne voit pas de traces sur lesdeuxautresespèees, Les Nageoires
sont plus pâles et presque sans taches,
D. 10/11 ; A- f } etc,-
La longueur de ces poissons est de sept pouces.
Le B a ttre
(Bryttus unicolor» nob.)
IJne troisième espèce se distingue des deux précédentes,
parce qu’elle n’a ' que trois ou quatre petites dents sur le. dev,ant|
palatins. Sa couleur e|t uniforme, vqijhltre shr le^dps, plus
dorée sur les côtés et sür le ventre. Les nageoires nJont .Auctuie
tache. I p l .. d, 10/lA ; Ai 0/9, ete.
Nos.individus ont six pouces de longueur.
Cette espèce nous a été envoyée ,de Philadelphie par
% Icht. phion., p, 2f,i
M. Lesueur, et d e Charlestown par^Mv le docteur IIol-
broock.
Ces trois esj#èeeiÿ se? re'Ssembl&nb d-’ailleurs beaucoup', et
pourraient bien . n’êlréè que* de simples variétés; finais il
faudrait les voir vivantes jouKs^en assurer.
Page 70. Additions au genre pomotis. ,
Il nous /reste'’ mainterifcit à parler, d e . nos ^différentes
espèces de ;vrais»pomoti§.
Celle--hlaquelle naus, ?ëservanstde nom de vulgaire,
parce que nous en avons un plus'grand nombre ,d’individus,
m
à le coÉp^arrondi, l^®)s èlëvé en a^nt de lai'- dorsale. Sa hauteur
■ fait la moitié dë sa longueur, la caudale non comprise. Ses nombres
^ D. 10/11; A. 3/9,*Wc. .
- La longueur de la'portion molle de l’anale egâle la hauteur de
s cette nageoire.
La couleur paraît jaune verdâtre a reflets dores, Avec une,tache
brune sur le milieu' dè. chaque éfeàflîe' 'formant/ des lignes longitudinales
plus .ou moins mariées. H n’y a point dçxaies ,sq|^es^joues.
La dorsale est pointillée cle noirâtrei L’an/ile a des taches plus pales»
On voit un trait jaune a la base de lai pectorale.
Le plus grand de nos individus a six pôucës ml ït&g. '
- Tous viennent" du lac Ontario ^ de Philadelphie ou de
New-York par MM. Milbert et Lesuéhr.
Le P omotis le Rayenel.-
‘ (!Pomotis Bavenelii, bob.)
Une seconde espèce» a--le profil du» dos^beaucoup plus rectiligne
et descendant plus obliquement, ce qui la fait paraître comme