Laicouleurest mmargesué naordoeé, sans aucune taefre ni bandes
-:, brunes. Le dessous deuaigonge est blanot Les nageoires sont rouges.
fl,y'a une ^ ’ï^portipn nïcllede la'j§nrs^#«et4#Fanale,
et deux raies brunes sur la caudale.
L’individu quer-hous 'avons décrit a oix-sept' pouces de long.
LwpëcîifèUfe’Pdrit düriü’ë^lj M.' Wuèstfi^fl%5înlacÉT%-
dulte de diacopes à corps.bordé de bandes brunes, qui
sont bien certainement de l’espèce du Seba. Sbus âVons
un individu de çettè defnïèréesp^gjlbng de treize pqucéfi
CeSI'.enle oe ib p â r^ t avec le grand, dontdq corps o%p©trte
les traces d’aucunes bandas ^ que n#us 'avomsi 'troiwétlesf
différences, énoncée ‘dans- la dësoeitption précédeUte, eÉ
q u i‘nous ont empëchés d’adopter Fopiniontdes^pécheurs.
Page 319 , après Particle de la diacopedçtuiïeuiah.}Lajoutez :
La D iacôpe a tache blanche.
{ÉHàcope alboguttata, nob.J"
M. Dussumier a trouvé sur la côte de Malabar une espèce
voisine de ce dondiavah,
et qui n’en diffère que par la couleur du corps et surtout par Icelle
de la taché. Le.corps est gris, à reflets pourprés, avec une tache
blanche de chaque eôté,, traversée dans son milieu par la ligne latérale.
Dans le dondicivah la tache est au-dessus de la ligne latérale.
Xës nageoires sont grisâtres, avee la portion épineuse de la dorsale,
bordée aè roügèatrë.^
L'individu pris à Bombaÿ“ est long cfe six pouces.
’ D. tOyifi; A. %9,etc.
Xe poisson, conservé dans la liqueur, a le dos roussâtre, àvec
un point blanchâtre sur chaque écaille, ce qui forme une suite
de lignes de cette couleur le long des flancs.
j Il parait .qi^^ q^te ;di%isb-iQU.iqst.duc aux ■ cbangemens
d%-i®0®leu,rs survenus aprèsi la mort du poisson $*véar
M. Dussumier n èili^ptrlë pas’ daitssa '‘éôiri’f’ë description,
faite
Çage, mé^prwMAiaag^tipfis jaune?, ajoutez:
Le M ésofrjton M AURAS“. $
. ( MesQprion rriadrajtfjpoh..)
Le poisson que les pêcheurs, de» SécbelieS appellent
madras,:est une espèce de1 mésopriem'voisine dn saiikin-
karva de Coromandel ( mesoprion jtaç>ipmnis, nob'.)“.
Cette nouvelle espèce diffère de . celle dont nous la rapprochons
par dès dentelures plus faibles au préônercule, par des écailles plus
petites, au nombre de soixante rangées, environ,t entre l ’ouïe et la
caudale. 11 n’y en a que quarante-cinq a cinquante ^ur temésoprion
à nageoires jaunes. Le madras a l’iüteroperctilè enoèrement couvert
d’écaillës. Le sankin-karva n’en .a que queïquespptes ; le reste de l'os
est presque nu. Les rayons épineux de la dorsale et de l’anale du
-madras sont plus courts et plus faibles,-m ;
D. .lO/lâ5; A.<3/B, etc. '
M. Dussumier, qtri a vu ce poisson frais, nous apprend que le
corps est jaune,'lavé de rosérLa tête et les -operculés sont rejuge
Toutes les nageoires sont jaunes. Les ventrales sont’ plus pâles que
les,autres.’ <h> «U'- < 1 *- . s ci wvmvAWw>&*.
Ce poisson'ëst‘;bon et abondaût flans la rade dé Mahé.
Il ne dépasse pas un pied : c’est la taillq de, l’individu que
nous avons décrit. P