2 4 6 LITRE VIII. PHAWIGIIKS: LA*RINTHIFORMES*
a en* dessus une crête verticale, qui augmente en hauteur
l’espèce* de voûte lateral» ctà^lîes masses feli^eées sèut Jie-
euesi Cette voûte es^ couverte à l!extérieur par un© partie
des» os- «du* ©râneeLpar lespiècesoperculairee, et, quand
on soulève Foperculej on voit encore une^membraneHen-
due de l’opercule à l’orisoapulaire, qui empêche -que la
naaése folracéecne coiïimunique avec, le dehors-^.si -ce n’est
par. u n otificerâssez étroit* q u i lui lest.commun >avê3»des
branchies.'.» Entie la membraneiïetifes de l’épaule* »est un
shins assess profond', mais aveugle^ et qui ne donne point
dans la s ©avitév intérieure &o& est la mfeeîifoMaceeï »fiîfWB
enfin une bride ©hârnue et membraneusè^' qui forme"!©
bord postérieur «latéral du palais, et se fixe- d’une p a rt'a la
Crete' inférieure du cîâneret d e l’autre rà il/operculé 9 seHè
rétrécit du *c®tés de.da bouche Centrée? d e la »©aki|é» qui
recèle» les appendices» ^
On comprend que cé d a fe fdnthedam elleü»^ étroites
ment* enfermé, et qui, chaque foisiqueIÜ.poisson*.ouvre
la» b o r n d b e , a ë ç o r t ^ d ê d ’e ^ u ^ c o r a n r e - t e ^ lt e a n c h le s^ id o f t iiE e * -
tenir «ette eau e n t r e e s feuillets,'et^quod’aüa^fefmis à
sec peut, au moyen de» cette eau, conservéeéen;quelque
sorte comme celle que le dromadaire garde dans rappen-
dice' foliacée d e sa panse, humecter e^eoéefpemdasnjb longs-
temps ses-branchies.. Gest4 ceïqpirfaifc qu’il peut vivre^es
heures e t peut-être» dte^q^^8 ^ nt^6rs desd'ea«^ efeee
qui a donné lieu d e lu i attribuer une. facultéassurément
bien rare dans la classe f laquelle ibappartienOrjsr;
En effor ces poissbnsÿ.défà isiftremarquables pard e a r
organisation , on t obtenu une »célébrité p articulière ; d’une
habitude que deux observateurs; danois e résidansd’un et
l’autre à Tranquehar, M. de Daldorf et M. John, assurent
CITAI»; L ANiA-BAS. M f
avoir- vu pratiquer . à» l’esp èoe commune dans ce canton :
celle' de grimper-sur les »airferès et deiiésre dansfif eau qui
s’amasse- entre leurs fe»dleSi*Mi de. Daldorf,dieutenant au
service- de’hBCompagnieidaiîioise Mestïndes, dans un mét
moire» imp riméon iis^ ^ r parmi ceux de la*SpçiAé linnié©nne
d e Londres ( t. III, p. ,62$, affirmelâvoir pris un de ces
poissons de. ses* propres .maius-, .en Noveinbre n ^ i , dans
une fentetde lecorce d’un palmier, de l’espèqe du borassus
flabellifermis , qui croissait près d’u n êtangs. ;Le poisson
était à cinq-pieds au-dessus de -beau, et sîefforçait de monter
encore f à eet effet il «êiretemait à ié c o ^ e p ar les. épines de
ses opercules!, fléchissait ;sa queue 9 skccrochait par les épines
deacm-anale, et, détachant- alors-sa tête, siéloVait ainsi et se
fixait dfcnouveku pour rëcommencèrle même »mouvement*
G esLpar des mouvemensî^mireiE queéfe poisson séypromène
sur la,terre. John fait un récit semblable.dans unemote
publiée dans le Blocb d è Schneide.r' |p^i2§ifi^sGest, ditdl^
un poison qui ée ^mnfeîd’Ordinairedans la vase detïétangs^
qui rampe' à-sec pendant plusieurs fbeures, au moyeu des
inflexions de io# corps, et quiy pardèriseeours d e s e s operculés
dentelésen scient des épin^rfe ^slnage#«esïf§rimpe
sur les.prfmiersiTra0isins.des étangs ,1e longdesquels .ruisselle
l’eau qu©:. les! jduies,^n#ancumulées#|leur le
nomme-rt-onson tamoule pannemeri, ©è^qui,signifie JUfm*-
tant aux arbres, grimpeur de&iarbres; g
ift%Gep@ndantjdes> observateurs non moins£xèspectablest ne
font aucune imewfii©» dlun; fait râ*estraôrdina#irfc.
Watdt, qui a souvent pris-l’anabas à Javayna point; entendu
dirê qu’on* lui attribuairién de-sèmblabler^.iLesçhénault,
qui nous sa envoyé plusieursde ees-poissons, de, fipndichéj^,
sous^e© même nom*tamOule ou malaharfe^^p^^-éÆ^-se