I de devant à? PinfcdèbreliSfaiftioh- yoit de» eèpë^ci
trois, qulttre^t même em f fortes canines, .qui, jatment sftuJa&j^iBtte
partie .dé la mâchoire. Loutes les. écailles. sogt, finemcpt^qh^griiiées
. daps. .leur/partie eiteTHey^mais non ciliées ; . elles sont disposées
Joly régïmCTement : ^ en^ctiàaptëprès* de soixante sur une ligne
ejnXreiTmpfe Wfitèâftëraïei' 'étdix-hüît<M$m$sttr une ligné vërticblé
duplutôt sur une demï-circônférence. Leu»è ëOntour ést à' Fextérieur
'en'demi-cercle dans reejles'du dos, un peu fen ogive daïisïOeMes:du
ventre, élargi et rectiligne à la racine, et. un peu plus ^ong que large.
Là partie visible adfessériés'dè poiifCSeïïftnteés un péd convergentes.
Leur parfaite et sans crénelure ; mais Jfcj|y a
.« sm ’à v^ei-^njafs t r i e s 4-fff g£là_Jptu>e les pàrpes ïu.é-
raies sont strjees peauqou^plus memerit^
g et 44 0a,45’; A. 26/pu^L; C.,14; E. 45a Y-, 1/5. fTj
" Datts la liqueur le dessus du corps patakbd’unj^ds-ilartua plus
ou;moins noirâtre ou verdâtre, et le dessous diun blanchâtre un
peu rosé; le brun descend jusqu’au-dessous de la*4igpedfîéPi.er
I ,,et„^pnn^,,en<^ei,à. peu près dé. tÇ^S jggj trois écailles des ^lignes
irrégulières qui descendent plus bas dans de blanc, en se portant
obnqpëinënt en arrière; et en s’interrompant di.vêrseib,em.J Ces pro-
: dictions descendantes sont plus ou moins-nuageuses dahsîqrtflqpes
individus; il y a aussi quelquefois» sur le brun du dôsfdes baigies
itRHisyerses plus noirâtres eti mal marquées. La dorsale^eblMilale
• s’élèvent un peu, en arrière , et se terminent chacune par un aætgle
varroitdi. Dans certains individus, ét Æ&la quel qufis soit dé» nombre
j <des payons; ledond dejeur couleur est'd’un hrpp uniforme^.dans
; d’autres jo»iy »voit.des lignes brunes obliques, dans deux sensop-
posésr celles, de la dorsale se portant en avant en montant, et pelles
de Tanàle en: descendant; le fond de la copieur de l’anale est plus
blanc qu’à la;dorsale; la caudale est aussi tantôt d’un brun uniforme,
tantôt marquée de lignes verticales plus brunes; lés ventralës sont
MâncMtfes, avec des traces' de lignes transversales grises ; lés pectorales
paraissent généralement d’un giis'uniforme.
Le foie de ces ophicéphales est petit, composé, de deux lobes
à peu près égaux-: celui ,de- gauche est le plps» grôs,, iet‘ divisé en
.d eu x lobples poiçtps. L'oesophage e&W/ecurt, large,..etr|e rétrécit
en un petit egtoraaq ipqniqpe. et. pointu.»./lpnt,l'extrémité n’atteint
pas auyiersfde la longueur aeda cavité «abdominale. Lmtestm est
grêle,, long, droit, replié d’eux fois surTm-meme.Il ffjÿà que deux
appendicqs.coeeaJ^grelék /Æmë aèfa-roite è’st dû dÔuMe’plus latigüé
' quiéTaiitre. Les laitances sont langues; cylindriques , d ’pn diamètre
médiocres -
La vessie natatoire est-trèsrgrandqi, quoique dlpn diamètré 'ët^oit,
, : parce>ÿqù’elle fse. prolonge:- dans- les muscle^ de la*qpeue ^p-dessüs
des rayons .de banale jusqu’aupyèst de la caudale., Les xeiflâisapt
Ipngs, grêles et^ séparés jusqu’à la hauteur de,la pointe de l’estqipaç,
Plus en a^ant ils se réunissent en un Seul lobe.
Leur .sqûélette a de cinquante-trois à *cinquante-cmd vèrtèlir'es ’
^ .iÿ^ômpris cMm qrn est elargié pôut^^KISSaàù^Éiftpâie'dâiiP
mence(isdtfe MHmgt-dénxièméY'mais1 ce ri’èsî jiâ% là que se? termine
• à beaucoup Lfes vertébrés qui suivent
: continuent de porter des côtes ,tiuPfe< de ehaqüe côté; et manquent
d’apopbyses épineuses inférieures , en »sorte que l^^yësfjeipatytoire
sevporte jgsqpç spjus l’extrénptq de l^.qi^eue. Lj?sdQpzç,au quatorze
premières'côtes sont plus-longues qüe'les autres, arquées, presque
horiz«ütales,et munies'chacune à*lfeur*base d’un appendice*: ensuite
« P vient de ^beaucoup plus courtes; ipâis sur la plus grpld*e^'artie
aè' f^Mp êllès' k'Ônt gtêlès', 'sindpïés 'ébibràSséxtt îè f
Cavité qpi règne1 dans l’iifliérieur dfe laJ queue. Les 'quatre dernières
Vertèbres ont seules des apophysèstépineuses ’inférieures , etla der*
anère de toutes, celle qui porte la eaudalc, ; a. son éventail composé
de six* rayons comprimés, dilatés et -'(ppldeménrent plus distincts
., jyjue dans le grand nombre desqgqissOns, ^
3?fous avdnS reçu de,ces ophicéphales déjpi'fesqpo toul.Gl
les parties dë l’Indg. ;î
Des Hidiyidps a quarante „ a»quaranto-dpur rayons rlor-
saux, nous, sônt yenus de Pondicliéry par M. lneschenault,
Et du Malabar par M. JBelenger eti*M* Dus&umier. On les