là collection de B lo ch , ;au Muséê de Be rlin, avéel le }Oom
de se t« vcaùzrû,, mais qui ressemblerait plutôt à un platax,
bien qu’il ait "aussi des Caractères de nature à en faire u n
genre particulier lorsquÉm tè.;e^Bnàîtr&.mieux. Malheureusement
scm état de i mutilation nfe nous permet p® dieu
rendre la description complète.
■ ; vSa formé générale est fcellé d’on platax. La hauteur du 'tronc est
' ütië fbis et deux LïerS'flâné îarfongueur totale, la éaudalé-ébmpfi^é.
La dorsale et* l’anale s’élèvent gradueheideUt en pointes»!* Rétame
dans les platax â mais on ne peut assigner la longùeur de -leurs
pointes , qui sont causées, fl en.'est aé Ébêosé aes rayons mqësëd^s
î ventrales, q.ui' se prolongeaient probablement aussi. La ..caudale est
gpande, et paraît avoir êü sèk rayons ^extrêmes prolongés bn’fila-
npuénf. jftë museau, est saillant et assèz pro tractile. Les mâchoires
n?nnt.rtMÙé su,r ^ ç s ,%r ô | i | s ' : il
n’ÿ en ajii .;ipï palais nûà la langue. L’angle du pnêopercule est saillant
et arrorftît,“Son bord est entier. L’operculé est #nôüsi>e. Il y a
*,.• cinq rayons à la membrane des Onoes. La dorsale.a- douie épines*
• dônt*lî dernière a plus du tiers dé la hauteur du corps, et vingt-
• -quatre rayons" mous , dùnt‘ les^premiêrâ paraissent s’être élevés
beaucoup. L’anale a,six épines, et là sixième p- présidé moitié de la
hauteur d u corps. Les rayons napus sont aussi* au rfOmbre.de vingt-
quatre , et les premiers paraissent. avôir<;ét.é for-^Joqgs. '.L’épine* des
ventralés a plus du quart 3 e|a hauteur du corps^r ibn peùtj.pgér
^jussi que leur premier rayon mou se prplongeait. beauçoup. Je
compté â.Quase rayons aux pectorales ^ doîit je ne puis assigner la
longueur. B 5. D. 43/24? a.,6/2 4 j/C. i l -h 125 Y^l/S.
Les écaillés sont médiocres,' de/forme circulaire, très-finement
striéâs aü bord, avec des stries concentriques qui ne se voient qu’à
la loupe, et quinze ou s.eâze ràypnf trè^marqués et peu convergens
à Leur éventail. Il né s’en porte que sur la hase des nageoires verticales
: la. plus grande partie de leur étendue, én est dénuée. La ligne
latérale est peûrmarquée. G,’est un trait léger d’abord parallèle à la
\ courbe du 'dosv>3fiî* quart ^ûpéîiéÛT de’la Kiiméur'/el; qm S'arrête vis-
dorsale j pour irepommèticér plus bas et
41 ; alleé-|^wgtjg. drobej^usiiju^à>laïCa«dale; _/ i
Tout,?Cj| nm^ôa|p^r|!|,t a®mE/ét^^arg§j^tf^ tgint de 1|^up|itpe vers
.. ,1e dns., Une bande oculaire part du crâne, la-jjpq|fc
L’oeil, qui est grand, en inte^qiBjpt tiers suroejiein:. fl; y
flës bandes vérucâles sur lèqôjms^ niais peu apparentes ; «liés sont
plus mârquéesvfet même ;en partie ipfeiées ,sur les:nâgp&irësrqîii en
ont cbafeiine trois, flg1
»AiLa^qdisidïKn’a pas deux .pouqes et demi, m
L’auteur dé 1’/ ttiolitologia vèronese a cru retrottyer
daqs le poisson fossile ^de sa planche 4 le chætodon teira,
et- dans celui de sa plaît ché 6 lé ’vespertilio, et B lo c h et
M. dé La-cépède ont répété son assertion, d’où l’on ha pas
manqué de déduire d éb an d e s conséquentes:'géologiques.
M: de Blaîniille a déjà indiqué quelques, différences "<3$
forme ‘y mais il y a des caractères*enç^îe.plüS/dëcîsifs dans
fêâ^ ^ £b^ é é ';^ ’ rajms,iqug nous ayeps cftpsmtés sur lés
originaqxiXe prétendu teira a quarante-trois .rayons .flïûus
!|sa dqrsale,j.ipt lé en .a. cinquante-six.
Néanmoins ce sont.de vrais platax, dont nous réparlerons
en traitant des poissons fossiles.,
1 . Blainvilleÿ !ÿir les içhfyolites, p..4 7 et 4 8 .