CHÂP.-L} CHÉTOY 0#5 EROPTlEM E NT DITS.
ayaat^îlaM@®salej^||i8pe;-taoB^ et une largebande vertieale
ia^lre j|f|s^ge pr ièr e de la d o r sa l ecla? base de la qiieue. La
caudale a deux lignes-verticales,noires, et le borpl blanc. Nous n’a-
/ vfflis pas ses nombres de rayons i' »
?'f|Wj’indïvidu est lo"rigi‘dt^^q*pouces.‘‘
, , L e ,CàÉ|9 D Ol^RUEANNÉr | é
.{ChÆtodpn^strigdtus, Lang|Æ)
M* L ^ g s d w f a»>£ap|p(pité dttiJapon?'Un elvetodcm qu’iï
nommfeï 0 rigatus,. •
et dont les préopercules sont sensiblement, mais finement dentelés
tout autour. Sbn'iîfuseap est ct ailleurs avance bomnhe dans le strtalus,
mais les nagebmesfwracaîfs ^sorfif.râoms, navAesJ proportion-
riellement. Sa troisième1 épine 13orsal%'d§pàsse la- première et là
■ àfeuxi^^, ëOe^dït*és lui aemeurent' a peu près égalés. Saiaeuxmme
épinejnale est' très-forte, beaucoup plus que la pramèré'et la troisième^
qui sont aussi, la première" tfe-'moitié^ lai troisième d’un
quart plus courtes. u>
’ * D. 11/17; 4. !/1 4 ;;q . 17;Y>. 16 ; V. -1Æ, .
l i a de larges bandes itoiratrfes, di|>p©|ees en longueur, comme
le strialus en a afevèrucalës? ‘La'^enuère^régné Ielopg du bord
dé la ^dMdn‘é p o u s é d*e tai^uPrealfe^ y mru^Mel7'sur le : doV le
ï fongilë la base dei;6titté porKon, «t's’étèbcT sur le miîieu^Sè^a por^
Éj tinp nffioïïe ; ladrdfeiëMèj part ’Al* dos devant
mine sur la fin de là pOrtion moMe, ët en partie sur & tranchant
- supérieur -de la queue ’& là quatrième, |®t
milieu dè la base delà eapdale, en,-coupant djetufc,fois ,jaligne latérale
; la pinqqiéme, du front, ,et, gètgrmlne-.gur la fin de l’anale - la
sixième, qui est moins imrqué^mart;!de laisselie, et ,s.e perd -yers-
rlS!Basë W là paskre nîrolle de l'anafè', é^’del’ée'^PMêMe un peu sur
,sèS‘ prériiiers rayons. -
Le fond délaceouléur pWaît^avfif e'ié blanchâtre ou jaunâtre.
^L’individu e'St'longde huit pbûcëS^ ét haut de quatre.