g Le Chétodôn rubanné. »
{<Choetodon*füsGiapu$.JForsL j rChcetod^,Jlwus, Bl. Schn.,
p. ^ 2§\tînv0 3 7 .) f
■' Le choetodon faèçiatus de Forskal ( p. 5<9. n. $ ° ) es^
aussi Voisin de Gelunula quil est possible a deux espèces
. de Tetf§v1!
• fies formas, ses nombres de rayons, ses strieS sont les mêmes. Sa
' bapdc oculaire noire est suivie d’une fcande liIanG^he plus courte,
qui s’élargit dans le ba§.’ Le devant' du dos est jaune ; le reste, jusqu'à
la ligne latérale, noir^ne^ bande fauve suit la base de la dorsale,
qui ensuite est noire, • pmsitmve jaunâtre, et a le bord fauve
terminé par. une ligne brune. L’anale .est fauve jaunâtre. La caudale
jaunâtre a aiuVnlieu uraé bande brune, çt au bord une ligne brune,
, uxîe jaûïie et une blanche. Les ventrales sont jaunes, les pectorales
grises, b.'6 ; D. 12/24; A. 3/19,; €« 11 ; P. 16; V, 1/5.
L’individu décrit par Forskal était long de trois pouces, haut
d’un et dem%*
Lès Arabes de Djid'da appellent l'espèce tabak-el-kus,
nom quils donnentaussi à d’autres espèces du genre! On
en voit une bonne figure dans le Voyage de M. Ruppel
(pl. 9, fig. ' ' g ___
Nous passons maintenant aux chétqdons qui, avec des
bandes plus ou moins nombreuses et des stries de diverses
directions, ont encore ce qu’on nomme des ocelles, cest-
à-dire des taches rondes, ordinairement entdüïees d un
Cercle blanc ou jaune. Quelques-uns d’entre eux sont tellement
sê^blables^L une gàrtiV de Ceux que nèt^ votons
de décrire, que l’on pourrait être tenté de croire que ces
ocelles sont seulement des distiûctîuns de sexe&j;j