2 7H oLÔ CENTRÙM ' ÇI Q ÜRES - DE- i |ô î j ç HE.
(Holooeatrum stercus musoarumt nob.)$W
Nous ayons encore obsèrvé dans les Collections de oes
navigateurs un petit holoGçntre de l’ile Quant,; long de
trois pouces^ qui.se rapproche beaucoup du p o in tillé ;
mais Son épine anale est plus fajjïle. La dorsale est grise, sans taches
noires. Lé bord de la portion épineuse est blanchâtre. Le dos est
bleuâtres le ventre.blanc, et l’on compte de chaque côté ijeuf rangées
longitudinales de petits points noirs", pomme des piqûres de
mouche. Il y en a aussi sur% préoperéule, ï;
. 3>. i j / l l ; A. m , etc. .
Page 164, après le chapitre XXVI, ajoutez.:
DU bH Y F ^ I ÇHÏ1 E (forNéniçnTijrrs W L
Cest encore aux recherches do M; Bussumier que nous
devons la connaissance de ce .smgulier ^eti;t jpbi^sott ,* qu’il
a trouvé dans l’estomac dW é 'b o n île ' harpWeè dans les
mers de l’Inde, sous l’équateuy, par 85? de longitude à
lë st du méridien de Paris. Il appartient au groupé des
percoïdes à huit ràyÔhà aux ouïes'ët aux ventrales; .paj
conséquent il est vdisin des holocentres.; mais il constitue
un genre uauveap* reconnaissable au prolongement.’
carèaus.du crâne en une pointe qui avance au-dehti^e sa
boucÏÏPpresque comme dans le lépidoleprus. L,e,prëoper-
cule a une' <épine saillante vers son angle ; mais 1 angle de
Tope renie n’a que des épines fort courtes, comme dans les
myripristis. Nous ne connaissons ëhcore qu’une seule espèce
de ce nouveau genre, que nous appellerons
I Le R hy^ chicht e p e la Roisp^Ei,
» ,( Rhynchiehtys peldmidis, nôb’.)
Qi poisson a le; corps plus trapu etplus court que celui d’un
holocentre, mais moins elliptique que celui
;> : Sa hauteur fait, à très-peu de <dio$e près ,(lu ti^rs de sa longueur
totale.* L’épaisseur mesure les deux cinquièmes de la hauteur. ,
L’oeil est grand. Son diamètre égale le'tiers de la longneur de la
tête, qui est elle-même contenue trois fois daps bi .longueur totale.
Le crâne est large. L’tspace .entre l§Sudeux yeps égde.leMiamètjfê
de l’oribite. En arrièredeis yeux, le des3ûs:dri ^râne est arrondi, et
sculpté par des palmettes au nombre de cinq à six, dont le bprd
postérieur est finement dentelé. L^i tigps ^de$ pdmeti^y^éfjides
«’avancent obliquaient en debûrs
naison partent deux ;c^ène.S:, une de chaque ,eotê, .qui' convergent
l’une vers fautrè, et se retissent à l’exta^énâ,té du-museau, praklâgit
ainsi en Une sorte de pyramide} dont le sommet est.éloigné dselppeil
d’une distance égale au tiers de la longueur de b tête. Les dfux
prêtes mitoyennes du crâne se prolongent parallèlement entre elles
et très-près l’ÜËe de l’autre jusqu’à la pointé du museau, et séparent
ainsi l«fàce.supérieure et eoneaye,d|elàipyiamide emdfeux^l^g^es
fossettes triangulaires. Les os du nez sont Jejetés «gr lès ^Ô^râu-
devant de l’orbite, et relevés par deux petites cfarènés également
convergentes vers l’extrémité du museau. C’est entre ces deux^crêtes
que l’on voit les deux petites ouvertures ®Pl&: marines Le ^uaeau
a en dessous deux carènes qui «vont divergeants de la. pèinté de la
pyramide à l’angle, antérieur vdes maxillaires,- et• divisent ainsi sa
face inférieure en. trois>fossettes. Sfoüte&vces arêtes et lemÔroe’simé-
rieur des orbites sont finement ientienliâs. Le tsemss-orbït^ê ’est
étrpit, à bord dentelé, eïs à surface un peu caverneuse. Lépil^per-
cule a lé limbe, fortement strié, et chaque strie entaille a&sez-fortement
lr îo r a verdcâ¥ët Imfizdbtâl dtfàtd’ôÉglè ké prolongé'en
une pointe assez longue. L’operCulé, le sous-opercule et
finteroperculesont striés et dentelés. L’angle dé l’opercule est