a ÿs<M»t pas bien distinguée^, Blo&h a'cnx y compter douze
aiguillons. Pour nous ,. nous ne pouvoirs en trouver que
neuf, èaname dans l’espèce jaune, encore faut-il rechercher
les premiers sous la peau au moyen du scalpel, et
les autres» üe montrent que leur pointe. Les notables sont
1 ^ mêmes, ou à peu près, que dans le précédent. '4
1K %«ô; A. 9/29* Ci. | | | P, 18j Y. ïfi. .
• S» faille est au moins égale; mais son. vêtement ‘est différent. Le
fônd d#Sa cotiïëuV 'est Un brun ftôhatfé, Uni kôr la tète et lés'na-
^ ir e s , et qui, shrtôut le-eorp, m semé de.traits tertreanx un'pet»
^ u é s et (Ton jaune pHe. Ges> traits iraient
le bord externe de centaines écailles»; mais il n?y en a pas sur toutes,
néanmoins» celles qui n’en ont. pas^pnxaHssi grades qjuelesraur-
‘ a i’huolacandie cüiâire, des fofr^s. et des
dimension! parficulières :iPy a encore un'oû^eux, rangs dç çes
ftaifô sur la base de la dorsale; mais plus corps.
L’aigmllôni'dn prëopéreuïe esft jàune, ët; l’on voit unie bande de la
même cotïfe*#sürla base de làpecto&aia
. " Un de nos individus est 10ng de?^îuié^dtlc'^ .f'"
M* P j ê e ^ u ^ ^ p r e n d qu’a J a Martinique^ lui
donne aus^i le nom de portugais, ou en peç^e du goids
de dôr^eà^ quinze que c’est un des, poisspns <jjiJ
cher |â quidze squs l'a n^reY'1
Le pomacanthe noir a: le^ ie épais, embrassant l’oesophage, infé-
.rie^emeq^eue. prolongeant en deux pointes, peu alongées, qid
recouvrent If crossn du duodénum. La vésicule du fiel est» grande
soniép a te s et trè^soÉdes. Elle-est suspendue
a un long c^at cholédoque, qui rêçôit dû grand1 nombre de vais-
srânx hépato -cysdques • tant que le canal court entre les lobes du
feîe, B descend ensuite îe long du duodénum et vient déboucher
derrière le- pylore-, en arrière de l’insertion■ des appendices ececales.
L’oesophage, à son origine, est très-large; il se rétrécit ensuite un
peu, et ne commenÿease dilater qu’après avoir parcouru les trois
quarts de la'longurar de l’âbdçfïUeiii Lé cânàl alimentaire se plie et
revient vers le cjfèphrssgmie,, de sosEte que hestômac .est placé au-
dessous de lj^ophage. Ses parois s , ped* charnues., et
Ksses à ljpleneur. XJh d-fs-fott'étranglement marque fe'pjT.qfef qui
est muiai de quinze appendices coecalés,.longues, grosses et eoni<
ques. Le »diamètre du duodénum est un peu plus petit que celui de
l’oesophage , à l ’endroitj cm d est, lfèphïs étroit. L’iïïtestm se dirige
vers le diaphragme, gt se replie dans la bifurcation du foie en sè
portant dgp^ J’hypocpiufcç, (ffoit, pit il fait im MfqzÆand nombre
de replis, ce qui repd sa longueur considérable. 11 revient alors pou»
le^duodénum , rentre dans leépôté gauche ,sous l’esiomac, et va de-
boucher atï'àntis après s’être un peu dilaté. La rate est piateée entre
Foesophage et l’eStomac;. elle est triangulaire. Les organes génitaux
sont réjetés ii l’àrïiëre de l'abdomen/Les saGS à ovàii-eshsoiït gros et
bientôt rèhnis en un setil; ils1 s’dtif ren¥ derrière le rectum. Ifous
aràiïè’trOuvé roeffl^hà^'ét l’estomaé d^çe poisson remplis d’une
grande quantité de fucus, dont ite‘feuilles et les y^éâcules étaient
a peine: attaquées par les dents de l’animal.
’ Bahs le squelette la èéetë du crâne'^mëvè^h tti&ngle du quart de
la hautéuf ^aé*® tête, fl y a huit vertèbres abdominales et quatorze
caudales. Les apophyses épineuses montantes des abdodiinâles st>nt
dnatéel^’aVâfflt-en arrière, et^ffmujdheht presque. Les deuxième,
troisième, quatrième et cinquième des apophyses descendantes des
çaudales se touchent effectivement. X'ous les interépineux des nageoires
se touchent de la même .manière,. ,et ont de plus des lames
latérales trës^aillanté's^ il y en a deux grêles entre Jaerête du crâne
et celul de la première épine de là dorsale. Xe corps de i’hymdëj
l’épaule et le chracôïdien sônt conformes commè dans l’holacaùthe
tricolor.*