Dents en cardes aux deux ; mâchoires. |
^^t^àie^Iongilës j et étendîtes s tï la i>ïas grande
T portfon ^âaf' doV otf'wVeritre. > .'
Dents en velôùrs. ^
ÏEMPKÉRIDES.'-' 33 drsale* courte et à épines faîbïés , . ayaiïcée sur le ;dos;
anale longue ,ef êlencLuV Je Jong de la partie mfériétite^da. poissoti.
Archers. Dorsale courte, reculée ea arrière, à épines très-fortesj anal©
: courte sous la. dorsale.
PREMIERE T R IB T J .
pES SQUAMMIPEINES A DET^T^jEN BROSSE.
àg^CSMTXüOON-., Linn.J^Cfë
Les smers dé la zone torride*-nîont rienrà; envier aux
terres 'dont elles arrosent, les -côtes. pour la vivacité .et
l’agréable disposition des. couleurs 4e leurs productions.
Si les .contrées, chaudes d-e l ’Aintpie ©& de l’Amérique o n t'
leurs sbuï-mangas, leurs colibris.^ .lèurs^otingas. et leurs
tat^ams, l’Océaiu indien et1 celui des Antilles possèdent
des plusi éclatans, dont’ les
écailles reflètent le s teintes des métaux et des pierres
pjaWéuses, releyées par dest taches et des bandes plus
sombres, e t distribuées avec, une, symétrie et uney|xiété
également admirables. Les ^ ^ te d tm s surtout foiment une
famille, presque, innombrable , et que la naturelsemble
s l t # jouée à revêtir dèsornemens les plus propres â plaire
à la-vue; le rése,*le pourpre, l’azur, le noir velouté, sont
répartisililaisurface de leurs(corps en raies^ien écharpes,
en anneaux, en taches oeeliées, sur des fonds dorés et argentés^
ou nuancés, comme le plus beau nacre, a e toutes
les couleurs de l’iris f et lùeil de l’homme jouit d’autant
plus de toutes ces beautés, que ces poissons^ peu volumineux,
habitués a se tenir près de la côte et entre les
rochers où il y a peu d’eau j j p flagitent sans cesse à la
lumière du sole il,.eomme;|^urtui faite éclairer d’un jour
plus vif tous les ornemeos qu’ils opt reçus de la nature.
: Ce genre a été Créé paf'Artédiy q e ï en connaissait seulement
six espèces /véritables | mais qui y avait réuni,