les memes que celles qui nous avaient été-indiquées par»
les voyageurs d’oiï nous avons dire leur description* MtèBteS*
smrÉÉri nous apprend que ê® poisson- est bon à maügèr,-
et qui! abonde sur la cote de Malabar pendant la moÜsVbn
de nord-est, mais qu’il y est rare dans la mousson de sud-
ouest.
Page 1 33. Addition a FatSele de T%otoceiürum mn.
Cette espèce est répandue dans toute la mer des Indes
et la mer du Sud. Les compagnons du capitaine d’ü rv ile
l’Ont prisé aux des2de la Sdeiété, àVanffcbloq!a Gtiam,ftet
les naturalistes.de l’expédition russe l’ont pernjff dfagqès
le vivant aux Carolines, Le dessin que M. de Merfons a
bien voulu, nous, communiquer, représente
le des ix>uge, les flancs roses, et le ventre jaune j la dorsale; épineuse
«st .d’nn beau rnugn-foncé tanj la molle est lonquiMje} l’anfile et
la caudale un peu orangées.
Page r 5 5» Addition à l’article. de Yholocentrum spinijexp cf' Arabie^-a
L’holocentré spinilere se*trouve aussi à l’Isle-de-Franee;
M. Dussumier vient de nous l’en rapporter. Les couleurs
sous lesquelles ce voyageur nous peint cette espèce, different
peu. de celles que nous avOiJf- indiquées diaprés
M. Ehrenberg.
Le corps est ronge, à reflets irisés vers le ventre. Les nageoires
sont de la même couleur. Derrière chacun des rayons épineux! de
la ’dorsale il y. a deux taches d’un beau blanc^ une a la ba$e. et,
l’autre â Ist pointe^^repiie. Le bord des ventrales est blanc.
bfôüs retrouvons cette meme espèce {lans un. dessin fait
à XJléâ par M. de Mertens. „Les formes Sont entièrement
semblables à celles de nos individus. Les couleurs et les
tacites^ des nageoires dorsale «fe ventrale sont telles" bue
M. Dussumier vient de ntoùéfes indiquer * mais l^*coq>s ’est
rouge, avec desligneslongitudinales blanébés.Noüssafbns
que 1 || lignes paraissent lorsque le^®r^'Commçnè|'.a se
décolorer ; ainsi elles ne peuvent pp$ fpjjrnir d f .jpgract.ère
spécifique.
M. jtUippel ,.cfowe une figure .trè^'-exacte de ce poisson
à la plmehe figuire 1, de son Atlas zooiogique. Il ta’ÿ
marque cependant pas les taches Manches dé la déûsaiè ;
mais il §n indique une sur lé d©S dé* la queue, derrière-
la dorsale, dont les trois autres vqyagéurMne ' parlent pbs.
M. Rup'pel ajoute qué>€efse %adké*ïsiefface aprèsda mort.
Il-y en a .aussi une très-bonne figure., e t m eme'^meilleure
que nous puissions’citer.- dans lesiPoissons^ègCp.ilan
de M. Whitcburch-Bennet (pl. 4 ) *< sp«us de nom - d’Aofo-
centPm ruber. Son nom ..à Céilan est rcitoo - paluiya
( pahajeJ rougé^ '
L ’individu de M. Dussumie^èst long dé dix pouces;
maïs l’espècé devient Beaucoup plus grande, e t son poids
Va jusqu’à six du sept livres. E ll e ^ t Tàren llMé-dè-France.
Sa çhàîr est cTud eicêllent godt. M. Benhejt en 'dit à peu
près’qutant dç iSQn ratoo-pahaja.
Page 1 57. Addition à i’arücle-de Yhoîocenîrum à grosses épines.
Les colleetiom que M. Rang nous a envoyées de G érée,
on&leyé nos doutes* touchant fexistence^dqcet hofocenifè
sur les côtes de Guinée, et nous ont fourni les moyens d’en
décrire les .cpuleurs.
♦ LTn individu*aussi frais què‘s’il soi-tait dé Peau,,, qui flésajt partie
de ees collectidïÉfs avait le* corps'dûqiWï'beau r@u^ë.Vermillon,
passant au carmin sbUs lé ventre. Sur le dés il ya^ trois lignes beu