^'êst-;à-diFé {4a.br us mlotiéus, %$: chromis nilotica
y nob.) jpraais oh- a fait' des ‘détoumenaRns^ de noms plus
importans.
L e Platax d e GaimarP. •
( Platax 'Gaimardij inoh>)'*. -
I Wous prendrons d’abord pour premier objet de odm-
paraisotï un .p e t^ individu, très ^ bien conservéy qulÿest
depuis long-temps au dabinet du Ï io i, et dont le sem-
blâBlê’Wêst -'rfetrouvé à la 'Nouvelle-Guinée:;“
La hauteur de coros^,prise depuis la base antérieurej3e' sa
jdorsale^à, eeïïe de son anale , égalera longueur depuis la bpuehe
jusqu’à la fin de la caudale j^sa dorsàlë a presque la même hauteur
de sâ base a -sa pointe-, et J’anale a bien un quart de pltri.-S
Loin que son museau soit proéminent, la Mgperdèson profil,
depuis la nuquèqùsqu’afix ventrd.?s, n’pst qu’un are jf^pqurbe 1^-
- ‘ gèrement convie. Ih rcr^ dé;^©n erâne s’élève tellement que sa
tête .©sJ: plus de deux. Ipis plus haute qu’elle longue. L’oeil e$t
-^à. peu plés aq milieu.d^cette jouteur, un peu plus près du profil
que^de J^Juie. -Son diamètre^ est deux^ fois^ et.Hernie dans la^ longueur
de la tête. La bouche est fendue horizontalement "au quart
inferieur de la tête, et ne pénètre que ’sous-ie tiers antérieur de
Foeitiiàblé^ié'Ti^.'âioW a -une bande dé dents en hrosse et unraîig
extiriehr dé dents plates, tranchantes »divisées trois
S pointes. L’orifice; postérieur de là narine est Une petite fente, verticale
tout près de l’oeil; et Intérieur un petit trop ropd .entre cette
fente et la bouche. Entre.les yeux le devant de la têteesj; rond et
presque égal en largeur au tiers de sa longueur ;, mais plus haut sa
crête s’amincit, et se continue avec la ligne dû devant de la, dorsale.
.Le préopercule a ün bord vertical, un horizontal, et leur
angle est arrondi; son limbe est un peu ric(é. L’angle de l’opercule
est très-obtus , et son bord inférieur très-oblique. Le bas de la mem1-
brane branehiale est découvert et écailleux; elle se jojnt à l’isthme
sous l’angle de là rBâehoire par une uniott a§Sez large. La dSsseetign
y découvre six rayonfo’.< L’épaule est lisse, mats sans artnure. Au-
dessous d,e labouche la ge^gte'&forme un bord obtus, qui s’élargit
iCt^s’aplatit un peq entre des ventrales. Il y-q encore entre la ef^te
osseuse du criùhe et f e f ©mmencenjentde la dorsale un espace a^sez.
long, mais qui monte rapidement. G’est-.au sommet du-corps que la
dorsale commence; elle a cinq épines cachées dans son bord antérieur
par la-peau écailleuwPqK H 'Sévit, et ne montrant que leurs
pointes disposées en échelons, patrie que ces épines vont croissant,
et que la cinquième est huit fois plus longue que la première. Le
premier rayon mou «st lui-même double de la cixrqüièiÉie épitiei et
le septième, qui est le plus long, dépasse encOrè d’un quart le prc-
çiier : ils décroissent ensuite rapidement jusqu’au trente-quatrièrhe,
qui est le dernier et qui égale a peine la première épine. L’anale
Wmmênije, vis^à-jris des premiers rayons mous de la dorsale ; elle a
trois^ épines placées ^UsSi en échelons et à dfemi cachées dans son
bord antérieur. Cest son premier'rayon nîm qui eét le plus long
ét dépasse d’un qtiart la’hautêtîr du^Ôfp&S: les survans décroissent
aussi rapidement qu’à la dorsale ; il y en a en tout viffgtehüÎL Les
d,piix nageoires, quand elles Ise dirigent en arrière; dépassent de
beaucoup la caudale. Le premier rayon mou de la ventraleatteint
âtijinilieu de qriui de l’anale; le.'.seéô&d l’égale presque ; Jés'ilrois
derniers Sont asséz q#urià: .L’ép3ae,4e oetté n^ëoir© n’a pas-levier s
de la longueur du premier rayon, nâou. La pectorale est . petite' et
faible, de figure oyàfej du cinquième de la longueur totafèV on- y
compte dix-huit’ra'yons. La càudaléa le quart de la longueur totale;
elle est coüpée carrément et a, comme à r©rdoeàire,’tiix-sepfrayons
entiers. Le tronçon de queuê, qui là porte 'en arriéré des deuxfku-
ties-nageoires verticales, ifïrguè^è’quëïe*vingtième de cette^‘longueur;
mais sa hauteur e$t quadruple.
B. 6; b: 5/34; A. 3/28^4*17; R $&•>.’ i/S.
Tout cë poisson est eouvèrl dé petites écailles, un peu plus hautes
que longues, finement pointiliéës et ciliées à leur partie visible, et
dont l’éventail a six rayons et six crénelures ; ellesne s’étendent pas