niais qui dans son état sec paraît tout brun, averf tout an plus quel-i
I 4e .yaies. Le ■tçdpn de se^deqts-est rplus marqué que
çJajns jfrifÿjfL au||e,,;ear.il a- trolfefeiida longueur ipé :1a parâe ,tran-
phante.- Son front est aussi plus large ,qù’aux autres espèces, qt au
lieu d’une‘pc^iVexité-générale il est aplati'transversalement et
pfes jp^lÉe»aïeS”sc0» singulièrement
^’:îs'èllfll§ V l è i^ pi^inre^TâÿoM‘Séiîtfunis en^qUelqucaortépar les
• écaillés[ qui les: -revêtent £ ëb elles ont les - rayons eii ‘mêmemùmbré
i que idms'Fespèeéhle la -Caroline. Sa dorsale en a onze épineux et
dôuzQ«fnous, son anale trois épineux et onze mous;
b. £Ï/Ï2}.-à. 3/11, etc..
Les naturalistes'dé là 7dWlTiièfë%ipë(3iêion russe oiï-t' retrouvé
dàùs la mer dûs- Iudes^nu pimélfeptèrè q u en ô u s
rapportons*à cette espèce, et qu’ils ont peint d’^pr/tè, le
frais en gris idé perle, un peudriséveip la 'tête, teint de
brun 'vér§ le dos. !(
C’est' très-probablement'sur cette e ip ^ e qne Cominer-'
son a établi son genre'x js teK ' Il rappelle ' jcjfier totus
fuscus, et ajoute : Color nullâ non parlejzisçusypinnæ
dorsalis parte spmosa mugis higricanté. '4Sa^ë^efiptidn
êSt demeurée incomplète, et il t&y d o jà n ^ ^ /l^ ''^ tn l^ r§ ^
d ës[rà^tisj mais tout qu’il dit des" formes p ijd ^ autres
çarÿçteres est ex^çt^pient conform^ a nps^individus. Les
sieo^ pteiëût jlong? d e Knit et 4 p. neuf poneps^ le f t ^ e ;)en
a dix-nejaf.
’■i L e PlMÉLEPTÈRE JNCISEUR.
(Pimelepterus incisorj nok; Chæiofdoft incisor, Parkins. )
Feu Delalande a rapport^ du Brésil un quatrième piitié-
le pw ë ? qui ressemble plus que celui du Cap à l’espèce de
Bosc, pour ce qui eoucerneses proportions^ mais qui s’en
laisse distinguer- plus facilement/pp
pareerqudl a quatorze rayons ujoas^I) saj-dorsde 5 .Qt d-ouze, .,ou jtrpize
. à son au< île; aon'^nt-es^n pep plus plal^^es Jalons de.ses^nts
;Sont un peu plus marqués:, saris lîftre autant qu a, celui du Cap; ses
écaillés paraisseï*, u i||^ q âpp^eom^e -{hé verre déppU- Qu’lui
voit- un.peu moins de lignes pales s u R .’C*^u /louze
énvÏFônf,' ét au jtotaï ses teintél pamWerit'un peu molnV foncées ;
le -ruban* argente dtf dessous: d^sbn- oeîL est.très-apparente j$hs individus
sont plus gran,ds que ceux delà Carolipe^iLyJ^n^.a.tjrj.de dix
pouces et'-uniautre de quiiize).fPans le .grand iqdiyjduy qui à la vérité
est desséché, les lignes des^eôtés^ont J^qqe-.disparu.
| Parkinson (en avait, déminé: ,aji B r ^ / i r n -. j>bu.s
grand, et l’avait.nommé choetodon, iriçisQr. Il pétait lqng
de vingt pouces. Le copps en est enluminé de bleuâtre, les
nageoires de cendré, la tête de blanchâtre Solander en a
fait ùüe^.’^CTroïibn qui âeRapporte assfe à la nôtre, où il
ne ^compte cepeufflnt que' treize-'raybns' ihoùs à 'ii dorsale.
L e PlMÊpEPTÈRE MARClkè.'^
{ Pimelepterus mareiac, ,Q.
Le pimëleptêre rap p o rté'd éW ai|jou Par SÉM QU0J Rf
Gaimard, et dont ils ont donné une figuré e t ûrfé dësbri|i-
tion dan£ lé Voyage de M. Fr.hÿcine|dpartie zpplogique,
p. 3 8 6 ’ e t pl, 6 a, fig. 4) , sous lç nom de piméleptère mar-
c ia c , difière d hC ift un peu plus séffiibiement du boscien.
Son front n’est pas si boriibé entre les yeéfc; maisd èét un peu
plus large,'et sotf^mS è& uri peUplùs court et un peu plus erim?
primé, Sa hauteur n’ësf que deui fdiè; et deux tiers dans sa-longueur.
Sous trouvons dans ün individu dix épines et quinze râÿoûs mrius
à la dorsale, et dans un autre onze épinës et quatorze râyôns in^us.
L’anale â dans11ôùs leSL.dètix tfùil ëpinët' et.t#eîæe ïàÿOn^ mous * Sa
Iigrie' latérale est tua" peu plus basse-, et ses barides pâles plus larges
ehmoins nombreuses. On n’en compte, au-desspus d? la ligne laté