f après une légère*courbure ellesuit le milieu de là hauteur jusqu’à
la* càhïâle: Elfê s'e marque par un tube longitudinal surf le milieu
de chaque écaillé.',
Ise^rcmd^TO là couleur de‘s&éj3bisson paraît d’un argenté teint
dê^ÿerdâtre-ou 'de brunâtre. Son dos est d’un brun plus foncé,
s^iét il ÿ a quatre-taches d’un brun noir placées l’une: au hautide
l!opercule,_ la seconde,au-dessus de là pectorale* la troisième sous
le eommeocement ae la dorsale, la quatrièmessous l’arrière de sa
partie molle, la cinquième sur le dessus de la queue-
Cet-te description est faite sur des individus pris dans le
Gange, et envoyés du Bêngale par M» Béle'ùgér en 1828J
Le plus grand est long de sept ^otécesisur trois de Hauteur,
sans compter leS nageoires.
Mais d’autres individtÉ) sêaiblâHles d’àilfetxfs en 'faut
à ces premiers, ont offertrquelques différences dans les
taches- et même dans les nombres des rayons, sans que
pour cela nous osions en faire autre cbq§ë que des variétés.
Ainsi ‘nous en avons un de l’île de Bôurouj rapporté
par MM. Quoÿ et Gaimard en 1829 j <
qui n’a que onze rayons mou$ à sa dorsàlè ; qiafà qui en corùpte
dix-sept à son aüâle, et (font les taches se joignent* aü* brun du dos,
de manière'à fo®6|er des demi-rb'andès. D’après ,1e dessin que ces
messieurs en ont fait sur le frais, son cdrpS était fortement teint
de gris verdâtre j son d os était noirâtre, ainsi que ses taches; Toutes
ses nageoires étaient verdâtres, avec une teinte noirâtre au bord
de l’anale et de la partie piolle de la .dorsale. L’jris est d’ynbei
prangé.
Un autre, du Havre-Dorey, à*la Nouvelle-Guinée',
qui a aussi des demi-bandes brumes au lieu de taches, ii’a que quatre
épines à la doràalé|lMe^ la pyènsû^e ou petite qui lui manque.
Ses rayons mous sont au nombre de douze à la dorsale et de quinze
à l’anale.