s®«Ées*ide Tranquebar pas» le missionnaire. Jpbn et. tout
m qui en/0',ëté dit.4àns les
em prunté de son Ouvrage. On ramême-dèpié dans&cette
erreur qu’il a commise tanlyde ^oisÿ de ®Q3^qdre la langue
malabare avec la langue malaie- John lui ayant- écrit que
l’un de ..eejSf poissons s’appelle karuvei -en tamoule,, ■çt l’autre
<vÀal ou varal .en maïabare\ Bloda et se& successeurs „ ont
toujours fait d e iû f i^ r a / cm varal un mot malais, ne se
doutant point que malabare ,est...le nom que lesLuro,-
péens donnent commuiiémenttà la langue“de la, entende
GoECuiandel, dont le nom propre est tamoule, e t’«quepar
noifeéquent le malabare e t lie tamoulë *îsbnt la même langue,
mais une langue très-différente du malais, que l’on me parle
point dans la presqu’île eu deçà, du Gange.':
Depuis Bloch , deux, auteurs 4.origi?n aux on t beaucoup
étendu rida-eéamaissaueeSiSur \e&ophieépkale$. ÜL, Patrice
Bussel, dans ses Poissons de* Jrizagapalami, ïe-n a-représenté
trOiS eSpèces, et en a décrit quatre ; e t ML HamiAton.Bucha-
maù, dans sortHistoire des pgâësoms
jusqu’à së p t, »et ii’a rien ? laissé ignorer de leurs habitudes
e t d e s ’ùsagês-'que l ’on en fait aux Indes.! :
MM. Sonnerat, Leschenault, Kublÿ Duvauael^fiélemger
u t D ussumierp nous ?ont! p ro c u ré e s - ©4e$s*®ds d e froè?«pî|?
nods-mêmès piüsièUrs/de sues poissonsjwdt Æajouter ïfaieb-
ifues ëtpècës à ’Cëlles que l’on connaissait, ainsiq>nqd'#taer
dans de nouveaux détails-sur les caractères du.genre et sur
son <Mganfeatî<m. 1
1 . '(Jhiattd on -prendïes noms étrangers dan* un auteur allemand ou hollandais,
•pu doit re»dreisoft./i?/en frai^çai* jpar un v «impie. 11 n’en est pas. de «|iéijie quand
on les tire des auteurs anglais.
WP Yôjez Adeltfûg'5 MiihAâaies-
On distingue les ophicéphales des autres poissons à nageoires
molles e tà ventrales thoraciques,par les écailles, ou
p lu tê tp a r les plaques polygénes qui recouvrent leur crâne
et leur front, comme dans les muges'et les anabas^
» Leur corps est assezialongé, peu comprimé de l’arrière,
et presquencyKntJ'rique dé lavant. iLeur tête *së déprimé
plus»©« moins et e s t un peu plus --large quede corpsi ÜLe
museau - est très*eourty laafge^ obtus^LeS-yeUx Ja|ïpréchent
de son extrémités .lies deux urifices d® la narine sdnt assez
éfeigi^^taEîlàntérimirysgarni d%n petit tube charnu, est
sous le bord du museau rlepostérieury ën fêriiie de simplé
trou, est tout prtïsdu l’oeil;fia?gUeule est fendue en travers}
au bout du museau, large,- garnie aux deux mâchoires , au
chevronvdu vdmer et aux palatins, de-dents en velours oü
eu cardés * parmi lesquelfesil sè mêle sOuventdàsSezfbrtea
canines. 11 y ; ©• même une plaque de ces dents en velours
séus barrière du crâne * eomme On en voit deeoniqnes'dahs
lànabas. Les couverclesi de leurs ouïes sont convexes latéralement
e t couverts* d ’écailles, ainsi que la jutie j -et il n ^ â
de dentelures ni d’épines à auctitoe de leurs-pièces, ni aux
sons - Orbitaire® Les sous-orbitairesqdëS mâchoires et la
membrâne branchiostègevsont nu& La-^nguehst hSsëybb-
tnse e t assez libre. Les ouïes sont ntédidcremènt fendues y
ebleurîMembramemàque cinq rayons. Il tfÿ a irnOane den^
te h ù e à ^ ë e a ife particulière, Sôit^aux^OS’de'lëpaüiê^éoit
aux nageoires paires. Presque tout le long du dos règne
unemagçoire d’à peu près égale hauteur, er^dont tous les
rayons Sont articulés-et un peu-diranehus. L’anale correspond
aux deux dernière tiers de la lo*nguenrri#èettefdOr-;
sale, et sep R É i é g a l e m e n t deà'âÿbns mïMsTLa caudale
est arrondie. Les pectorales; et les ventrales sont petites et