médiaire. Le fond Marti; de leur-intervalle est tout semé de points
. assez serrés. La dorsale'et'-l’anale sont lisérées deîbleu et de blanc. Le
bord des oeelles.est bled, et il y a un long trait bleu, recourbé ;sur
la bande jaune postérieure. L’antérieure a vers le bas. des stries noirâtres
irrégulières, ta caudale est jaunâtre , et a' le bout cendré. ..
' L’individu n’a aussi* qtfe dinq pondes. '
: L e ■ C hétoimîtsp a ven tral es n o ir e s . a
( Chcetodon melanopùs, nqK)
M. Reinwardt a rapporté des Moluques une espèce très-
voisine dos deux précédiënt'ësÿ' •
et de même forme, avec les mêmes longues yèntrales noilsès, lai même
bande noitfe sütla qüèüê, êt^un Ocelle an îî^ênié Und-roit de Jb don-
sale j mais qui en a aussi un sur l’anale , èt.*où l’cfn ne voit jpas les
lignes de.points argentés, si remaTquahlfes <|a®£.1^çhrysgppnus, ni
les points jamies du labiatus.
L’individu est long. de qtiat^f ppÿpesj lignes,■.,
Nous l’appelons melanopus>ià»cause de là couleur de ses
ventrales. ®
Le- CnfetODON ue BeIsItet.
p i ÇCheet&don Meririetli; ndbt) »
M. Ëd. Bennet nous a -fait voir au Muséum de la Société
zoologique de Londres un ‘ehétoÉOn de’Sumatra,- à neuf
épines dorsales, différent des précédefis '
par la forme plus -oblongue de son corps, qui est deux fôis Épsi
longque haut Le fond ne sa couleur est'jänne. Sa'bande Oculaire et
un grand ocelle ovale, sur le tiers postérieur du dos^tSont noirs,
lisérés de bleu, et il a sur le eÔté deux lignes; longitudinales bleues,
descendant unpeuobliquemênt en arrière ; l’une au-dessus, l’autre
au-aessous de la pectorale.
CHAPITRE IL
J)es Chelmons {fihelmon, nob.).
‘Nous ayons distingue lés chelmons dés chétodans proprement
dits, seulement- à icaus^ede: la. fb r m e extraordinaire
de leur, museau, qui çstlong et grêle j fptpaé .par l’inter-
maxillaire, quijse prolonge horizontalement;outre mesure,
et par la mâchoire, inférieure, prolongée« également et
dans le même séns. Une membrane les unit sur moitié ou
lés deux tiers de lfeur longueur, en sorte que 4a Bouche
n elt qu’une petite’ fénte hoYfeontale au bout dèi cette espèce
■ de cylindre pu de eone alonge. Les dents, entourent
les bords dest mâchoire^, fet -|pntf*ea fin velours -plutôt
quemsoies. Le maxillaire se montre verticalement au côté
de la base de çe cône, comme un petit disque presque
rond! Leur profit concave ( au-devant des yeux, sc relaye
presque verticalement, de manière que le museau répond
a4 quart ou au cînquiènfe inférieur de la hauteur de la
tê te , et que l’oeil ètt plus élevé ; d’un autre cinquième.
Pour tout Je reste les^chelmous ressemblent aux chéto-
dons proprement ditsj leur corps esf très-élWé- leur dors
a l et leur anale sont haut.es!ët écaiUëjytëe's ; leur caudale
est cohpée càrrêméntY?ïeurs écaillés" sont assez grandes'1,
leur ligne latérale est- rapprochée du àçs« dont elfe suit à
peu près la courbure. : ils ont même des' rappom avec
certains bhétodons pour lJOoulfeurs, ainsi que pour les
bâïichfc et 1^1 tachés qui les diversifient.
X&ytw | dans Hesy^hiusest.le* nom d’un poisson mdé-
. terminé
7* 9