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> l trianglësJ Gëhii qUi sè véît extéif^ettrertient
est strié en longueur par* dês^sériés Un peU "feorivergenteSet serrées
“ de' points enftmcés. ’Lés latéraux ont de très-fines’ striés longitudinales,
qui nç se voient qu’à la loupe. Le postérieur OU l’éventail
â aussi des stries longitudinales, mais plps fortes, âü nômbre d e
quinze, oufserie. La ligue latérale est presque drpite; à peine a-t-elle
uim l&èr^.ipflËEXton derrière la pectorale. Sa partie antérieure est
au tiers de sa hauteUT ; là postérieure a moitié cellé'-lë marque par
- uiie légère élevure longue et étroite* sur chaque écâillê.^
’ Lé' kï>rW>£ a ÿuf^rêtS^fléé^ péfi’eé -Wès^maéqtîê^f dm en voit deux
‘siir indeVaTii dâm'iseau, trois un peu en arrière des yeux, trois sur
. une ligne verticale le long de
chaque’branche de la mâckoirë inféi1ieUife.!<tG,-|§iitin fapptiPt marqué
que les qpjéipépkales offrent avec les attabas.
| Dans la jiqiieuç jsa^cpjjlçuf est, suri le dgs^etJUss "eè6Ms m gris
yerdàtrç, sojnbre, et en dessous un blanc grisâtre. De larges bandes
nuageuses noirâtres, au nombre de huit, descendent obliquement
én ^îyànt jusque la Ugne latérale, et se^qfflnuent I^oesioiïsf maïs
W fg* réëûlénf un peü.^liei8 W^édirés'
lignés dé points noirâtres-entre les rayons , ët'KàüSlef â de plus un
liséré blanc, étroit, produit surtout par les extrémitésdésqayuns.
Les pectorales sont grises ; les ventrales bjahe||âtrga,
T4 est Tmdijidü qup nous atpn| i^i^dÀ Pondichéry. Je n’y
yois pas de points. .
Sa longueur est de six pouces.
Le s.in dly id usappq rté s par M. Raynaud des étangs de
Calcutta, semblables daineurs â.celui-là,, ,
opple§ taches du dos, et_désflanes plus marquées ; l’un d’eux a sur
chacune des écailles du ventre, et même qes cqtes, un point du
une petite-ligne noirâtre, ce qui lùi en'Torrnei cihq OU sfk sériés.
On lui y oit aussi isur la tempe une bande longitudinale hofrâtre
nuageusej et une-autre stfrla joue. Les taches noires de sa dorsale
ët^de son anale forment des senes plus prononcées; màis les attires
* individus, prilrii'meh^ tlinps*,1 ont les pointé du ventre et lés bâhdes
, opaïcèj»,H4i.Es., .. , 307
.d^« la .tête .presque manquent tout-à-fait. Ils
n’ont que yingtTneuqi,ayq|t? j-.lfi idpijsale,,..
iqdiyiqn.unÆeqjplfU^.gr^d^i pris le grand
i^ijye deg Bmn^anstjna|tqae^ÿ8^.de points,, tà„a tren|e-deux rayons
à la dorsale.
M. Belenger en a pris dans* la rivière de Mabé q u i,
s’ils appartiennent a ,1a même espèce-^,y .forment au moins
une varqgtq,prononcée^
Tput leur dos parait, uniforniejnent .d’un brun noirâtre ,• qui
s’affaiblit .vers le ventre,, sans }y .former de tach.es; le ventre naême
, ne montre pas tje points.,.Lesr#page.qireg verticales spnt, brunes, en
sorte que les lignes de .points, noirs,-M panqsseqt mpins.
; : D. 30; «te---.- •
On Iqs nomme au Malabar cadd^ël-caddpun.
Blocib. pourrait avoir vu une variété-assez semblable;
il fj,e d**i .marque, p$s, de bandes sur le corps, et enlumine
son dps et se sd a n c sd u h noirâtre urpfojgme^ lgJland de la
eoulenE'd^ïnagiéêireSî^at brun sèmf 4f®i ventre,
ses-'Opereules et les :côitçs< de ^a dersalej de^ petits points
noirs; il donne pour nombres rie rayons ;
m à 5; D. 3Ï ; à . 23; Ci Ï4; P. 16 ; V. 6.
M. Buchanan donne au sien* d^m p | e adullp, de^ ^diü’ls
nôirs et des bandes] noirâtres / “ïria-S ces dernières dans la
partie' postérieure ';ët '* .jtiSqi^ià *. ligne latérale S^tllêniént.
Dans le jeuneles bandes descendent au^ae^5uS â#lkbgrife*
mais riï ri y 'a* p |l de points. 'TouS jîpS; deux o i l une bande
longitudinale ? qui règne. depuis l’oeil jusqâès au-dessus 'de
la pççtoraiîei '
Nous trouvons précisément cef'jnomBrès a six individus
rapportésides^tangs ^ Calcutta par M^Dussumier. Trois