v söät g^ndéS" et ÿfadbïfe'oMaileR j eû sôr«ê'que les reflétS de lèurs
* bords représentent un résèau à larges: mailles-ôü un payé. La bande
octclàiré' est presque verticale. La partie môllë de la dorsale a un
rabàn’noit"par:àllèlë\à seè bôPdsy'et plus large en arriéréj placé
entre' deux:1 lignes blanches. Sur l’anale il n’y a qu’une ligne noire
très-étroite: et un bord blanc. La caudale a une bande noire en
forme de (croissantSuivie d’mn ruban'blatte , d’unè très-fihè figne
•nôire et d’un liséré gris.'Ses pëctoraileset sësventralessont Manches
- ou i aunâtres.--'
D. 13/21} A, 8/19; C, 17} P, 14},y» 1/5.- 4
Notre individu est long de quatre policés et demi.
Gmelin rapporte le d o uw in g -p rin ce de Renard au choe-
todort va g a bu n du s; mais c’est une espèce différente.
E n d’autres de cës chétôdoüs à bandes noires vers l’arrière
j les stries sont longitudinales.
Le GhéVö*d oN vfïIöis-MNd'es.
(jChoetodon vittatus, BLiSchn.'; Çlhcetodon trifasciatus,
Munjgo-Parh.;)
Te l est le ddtiwing-baron d e ’Renard (t: ï,pl.^riyfig.rio^J;
figure: fort reconnaissâble' dune'espèce' epié Sebÿ représente
aüssi fo r t'b ien (t. I I I , pl. 29 , n.° 18 ) , e t'd ö ü t noufc
trôUvons ün b o n dessin parmi eeux’dë ParkinSdri que’ l’on
conserve' dans la bibliothèque de Banks. Gé dessiii à été
fa it!à OtaifiV ë t il nous est vénu deà individus’ d é là même
espèce de l’île Guam et de l’île d’Oüàlan par w expéditions
d.e MM. Freycinet et Duperrey. Les peintres de
Bénard - e t 1 dé Valentyn 1’dnt observée à Amboine -, et
MM. Q uoy et Gaimard, pendant leur séjour à Bourbon,
en o n t reçu des.individusidef Madaga»ea|Fi •Enfin,, M. Julie
n Besjardins vient de nous eù ^rivôÿtëÉrun dessin fait
par lui-même. à flsle-d e-F ran cé . Ainsi elle est répandue
dans toutes.les-parties chaudes de ,1a mer des Indes et, de
la nj^r du Sud.
-C’est une de celles dont le museau est le plus court ^ il dépasse-
à peine Jatcou«be. générale de l’ovale dit corps. Sa hauteur n’est
qu’une fois et deux tiers dans sâ lön-gueur totale. Sa dorsale et son
, .anale, sept arr.oqdies. ^e tpuj i^ei sa^gjp.che, la Lande oculaire et
une ligne qui lui est parallèle et qui, descend dès les premières
épines de la dorsale sur l’operçule.,s spnft noirs. La bande oculaire
est lisérée de citron;, me bande,noire, également lisérée de citr.on,
commence en pointe sur la partie molle de la,dorsale, suit sa base,
et descend même, sur'une partie de la basé de la queue. Une bande
semblable règiie sur la base de l’angle, mais,sè termine à son bord
,. postérieur» Sur .Le milieu de la caudale est ,une bände Verticale noire.
t ..Sur laparfigjde la dfirsale, en dehors- de là. bande^,sbnti.deifX lignes
, étrpitef brunes,^sur. pn fçnd d |^ 0.ulenr $£$)§£%$%& comme celui
de tout le corps, sj*rleqttri des lignes brunâtres suivent les rangées
des écailles, qui, dans cette espèce, sont toutes dirigées longitudinalement.
D. 13/21; A.$2Q; C. 17; P. 14} V.d/6.
Nous n’avons pas d’individus de plus de quatrapouçes.
; yà%nfy0 ?t q u | çn, çlonne *fl.° tjd), la même, figure que
Bénard, dit q u o n le n om m e en .m a la is ikçtj^~badjoue-besi
ou poisson cuirassé, parce qu’on trouve quelque rapport
entre la distribution de ses --couleurs e t celles d’une ar-*
m ur e , apparemipent telle que la p p rtën t les. indigènes. Il
ajoute que c’-est un excellent manger. Au n.°-4 5 o il le reproduit
sous le nom de pam pusdu , T on qu in , et. lui attribue
la même qualité.