1 6 LIVRE VII. squ am mipenne s . M
museau derrièrèf les lèvres. La bande oculaire est noire, lisérée en
ayant et en arrière oe blanoj 4® sa partie supérieure part? une petite
bande*noire, qui va rejoindre les deux premiers aiguillons de la
dorsale. Une autre bande noire, qui traverse sur la jonction de
l’opercule avec le préopercule, se courbe en haut et en bas; sa
partie supérieure se continue tout le long du bord delà dorsale,
dont elle n’est séparée que par un léger liséréjaune; sa partie
inférieure passe sur la base de la ventrale, et suit la ba'se de l’anale
jusqu’au bout , ayant à son bord supérieur et à Pinférietir une ligne
autre blanche, puis d’une brune lisérée d f noir; enfin, du liséré
de la nageoire elle-même, , qui est jaune. Derrière cette grande
bande elliptique » mais sur l’opercule seulement, il y a upe 'ligne
blanche. Une autre grande bande, noire part du bord même) de
l’opercule, et se dirige en dessus vers le milieu de la partie épineuse
de la dorsale, où elle se recpurfie^ur elle-même, et redescend
à la base de la pectorale, traverse cette base, et se, dirige
parallèlement à la partie inférieure de la précédente, et en suivant
la base de l’anale jusque sur la queue, qu’elle traversé obliquement
Éntre les deux dernières branches.sont encore deux,bandes, partant
de la région derrière l’aisselle de la pectorale; et montant
obliquement en arrière pour se recourber en avant et sè-terminer
l’une à la fin dè la partie épineuse, l’autre sur le milieu de la
partie molle de la dorsale: Ajoutez deux lignes brunes ou ftoires ;
Pune au tiers postérieur, l’autre tout près dù bord de lu caudale,
et deux lisérés blanchâtres à cette dernière, et .vous1 aurez .une liée
de la singulière distribution desJjarides et d@s traits qui distinguent
ce poisson." Dans là Hqüeur le fond d&sacôùleur paraît jaune ;
mais, d’après la figure originale deVlaming, éfe doit 'être dans lé
frais-un blanc bleuâtre. .
Ses nombres de rayons sqnt :
D. 12/22; A. 3/19; G..17; P. 16 ; ’VH/S."'""-
Sa dorsale et éon anale sont arrondira en arrière, et? son museau
est peu saillant. Sa hauteur est une fois et deux tiers dans sa longueur.
<fHAP. I». DITS. 1 7
L’individu cinq pouces-,
Il vient des Reluques, 'C'est le même que M- de*Lacê~
pède a fait représenter.' Câ* figure qu’il en a, donnée est
assez exacte, à la bo'ucbp près,] qui est un peu déformée :
elle ne montre pas,plus que l’original de tçagq^de piquant
à l’opercule. 3 en sorte que nous ne:;cAmprenons pas comment
M. de Laoépède a-vpn faire- d l ce poisson un holacantbe.
' ?ÿ a lèn ty n â s t a to q u o c’est un mets" délicieux.
Le C hÉTODON TRÈSpOR^É. i
( Chcetodon ornutisfimuw, «Soland,)? - *
La seule espèce qui se rapproche un peuple la p^Ge-
deute -par la distribution deÿes rubans 7*4 JÜé rapportée
récéinineiit d’Otaïti pat MM. Lessôn*ét;€^rtfaffinais elle
ÿ'avâit déjà" été décrite',' et-fort exactement, par Sblandèt,
qui l’avait* nommée ckætëdon ornutigsimus. -
Sa beauté est aussi très-grande. La lèvre inférieure, l’anneau autour
delà bouche, la bande ^oculaire,>y.Jsont comme d^nsle chætoêon
Meyçri, et avec odes hséré^dm^A tlpe ba.n.derdipirfe, lisérée ' aussi
de jaune en amère , monté parallèlement à 1 ocujâire, sur le préo-
| nercule et derrière l’oeil, I jusqtfà la ligne du. dos, où elle .suit les
bases d.es épines et ffisuite tput le, bjord de la par.de mojle., qui a
encore une ligne jaune. et un. petit hséré. qoir, La jonction du
pré opercule, et est aussi marquée par une ligïie'noire,
; et l’on en volt utté petite sur le bord, même de l ùperculé, dont
lç disque est citron. Dans Mjpartie amerieûfe du dos il y a-'/derrière
la. ligne. qui yç. border la doifâftlB;>,.une 'largft-.teiat^ .pêtrea?
ensuitele disque du poisson est dessiné 'de 'sept bandes qui parais-
sen|j orangées et lisérés de viplelj, et-^pourçsnt; obliquement sur
un fond bl^.çhâtre,),,Lçs. quèp',é prertièjçe§,1vdBî .ép.;h1PBtant. se
’ ' F w W I ' H M